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. On avait condamné Jean Huss, le premier qui eût
osé
proclamer la nécessité d’une réforme. On l’avait fait monter sur le b
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otester du fond de leur solitude. Kierkegaard qui
osa
écrire ce blasphème contre les préjugés du siècle : « Le plus grand a
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à part ces deux solitaires, personne ne sut ou n’
osa
voir à quoi devait conduire le Progrès, abandonné à son mouvement fat
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comme malgré moi, à des conclusions politiques —
oserais
-je dire patriotiques ? — ou plutôt à des conclusions qui par la plus
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n spirituel. À la première de ces questions, il n’
oserait
pas répondre en toute franchise ; et à la seconde, il pressent bien q
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Et contre tout l’« économisme » de son temps, il
ose
écrire : « Si quelque chose aujourd’hui menace la liberté, ce n’est p
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rmission de revivre, c’est une épreuve encore, on
ose
à peine le dire, une épreuve dérisoire, bonne pour des spectateurs… P
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comme elles l’ont fait dans un pays voisin ? Je n’
oserais
pas répondre ce matin. Ni oui ni non. Mais je voudrais que cette ques
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ises pas mal de traces d’un piétisme affadi. Je n’
oserais
pas suggérer que nous tenons à rester démocrates et sans façon jusque
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r commun. Nous sommes tous dans le même sac, si j’
ose
dire. La seule question réelle qui se pose désormais, c’est de savoir
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sme, etc. Y a-t-il encore une morale chrétienne ?
Osera-t
-on encore la prêcher ? Théologie solide, morale problématique ; est-c
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sses (pour ne pas dire : au soulagement général).
Oserai
-je vous avouer que si je tiens ces craintes pour justifiées quant aux
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oici le code, obéissez. » Il dit : « Cherchez, et
osez
croire l’invraisemblable. Et c’est ainsi que vous trouverez aussi, ch