1 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
1 lutte sera toujours ouverte, tant qu’il y aura du péché sur la terre. Non, l’heure n’est pas au facile optimisme, dans une Eu
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
2 sprit. L’esprit prévoit le mal et tient compte du péché . Il sait que les inventions humaines peuvent être employées contre l’
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
3 prière liturgique isolée, comme la confession des péchés , certains pasteurs paraissent craindre la monotonie de ce vieux texte
4 ra subsister devant toi ! »). III. Confession des péchés (l’assemblée s’agenouille). IV. Kyrie (un petit chœur ou l’assemblée
5 ’abord, qui nous condamne, puis la conscience, le péché , la repentance, la grâce accordée, et enfin le témoignage de la foi.
6 lique, ou pendant la lecture de la confession des péchés , par exemple, comme cela se fait dans les Églises réformées de Paris 
4 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
7 té les siècles de luttes passionnantes entre le «  péché  » et la « grâce », c’est-à-dire entre les tentations de la « chair »
8 vais : simplement on joue bien ou mal. Point de «  péché  » dans le monde des règles du jeu, mais seulement des erreurs, maladr
9 ou d’objectivité, coups bas, etc.). La notion de péché n’apparaît qu’à partir du moment où se trouve posée la question de no
10 donnés. Je disais tout à l’heure que la notion de péché n’a pas sa place dans le monde des règles du jeu, mais prend son sens
11 r (sommaire de toute la Loi), il est clair que le péché en général est de faillir à l’amour, de le blesser, ou de le dénature
12 st action. Mais dans le monde de la vocation, mon péché particulier, c’est ce qui m’empêche de répondre à l’appel que j’ai cr
13 dont je puisse faire état « objectivement ». Mon péché , c’est de me mettre par ma conduite, par ma pensée, ou par quelque at
14 dans la nuit, crée ou jalonne pour moi seul. Mon péché , c’est ce qui obscurcit ma visée, me fait perdre de vue le but, m’en
15 je découvre, à ce propos, que le mot désignant le péché en hébreu signifie littéralement « ce qui manque le but » ; et en gre