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uté vivante. Posons tout de suite un repère : les
paroisses
de l’Église primitive étaient de vraies communautés. On y mettait tou
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parce que le but et le fondement spirituel d’une
paroisse
étaient alors plus importants que tout. La ferveur de la foi nouvelle
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tes les persécutions grâce à la cohésion de leurs
paroisses
, grâce à l’esprit communautaire qui les soutenait. Pendant la décaden
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ait. Pendant la décadence de l’Empire romain, ces
paroisses
ont constitué les cellules de base d’une nouvelle société7, les noyau
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tés futures, les refuges de la vraie liberté. Nos
paroisses
actuelles, nos paroisses de Suisse, seraient-elles capables de jouer
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de la vraie liberté. Nos paroisses actuelles, nos
paroisses
de Suisse, seraient-elles capables de jouer pareil rôle, de nos jours
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es dans l’Église ? Oh ! je ne demande pas que nos
paroisses
décrètent du jour au lendemain le partage de tous les biens et décide
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er toutes les conditions nécessaires pour que nos
paroisses
redeviennent des communautés véritables. Mais il est trois de ces con
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l’atmosphère un peu renfermée de certaines de nos
paroisses
se dissipera d’elle-même, se fera plus accueillante. L’étranger qui e
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et auditoire l’appuieront pratiquement dans leurs
paroisses
. Je voudrais dire à nos pasteurs : soyez simples dans vos sermons, so
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parlerai pas non plus du rôle des laïques dans la
paroisse
, qui pourrait être développé encore, afin de décharger le pasteur d’u
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l’amener, un beau dimanche, au culte d’une de nos
paroisses
suisses. Elle sera d’abord, probablement, dépaysée, comme je vous le