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a tactique des apôtres. Et pour qu’on n’aille pas
penser
que je préconise je ne sais quelle veule démission ou quel défaitisme
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leine d’activité autant que de contemplation3, je
pense
qu’il faut la rattacher surtout à une troisième tendance, la plus imp
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disputes concernant la politique et le régime des
pensions
. — Vous autres réformés, dit en substance le texte, vous en appelez t
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uvaises qui les menacent. S’ils sont malades, ils
pensent
que c’est la faute d’un objet maléfique, ou d’un sorcier, ou d’un esp
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eur, spirituel ou culturel. Tout cela parce qu’on
pensait
que le Progrès était sain, juste et infaillible, et que la seule tâch
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nt la permission de dire à haute voix ce que l’on
pense
. Et quand ces trois pays se feront la guerre, ils la feront tous au n
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et pourtant libérale ? Il nous faut rapprendre à
penser
, à penser dans le train de l’action, oui, à penser avec les mains. Il
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nt libérale ? Il nous faut rapprendre à penser, à
penser
dans le train de l’action, oui, à penser avec les mains. Il nous faut
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ne voudrais pas, ici, partir dans l’utopie. Je ne
pense
pas que les principes fondamentaux d’une société plus harmonieuse pui
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t, ce sont des pessimistes actifs. Des hommes qui
pensent
et qui agissent conformément à la maxime du Taciturne : « Pas n’est b
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pposer que la Suisse soit envahie, pourrions-nous
penser
à l’Église comme à notre Gothard spirituel ? L’existence permanente —
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rais vous dire maintenant pour quelles raisons je
pense
que nos Églises suisses devraient se préparer à l’adopter, telle qu’e
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uoi il s’agit. J’avoue que pour ma part, et je ne
pense
pas être le seul de mon espèce, j’éprouve le besoin d’entendre répéte
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assis, bourgeoisement et convenablement assis… Ne
pensez
pas, surtout, que ces questions d’attitude soient futiles, ou trahiss
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rs attaché de l’importance à ces choses-là, et je
pense
qu’elles avaient de bonnes raisons de le faire. Elles savaient qu’une
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’autres Églises dans le mouvement œcuménique. (Je
pense
à l’Église anglicane, qui attache à la liturgie une importance sans c
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nquante ans, ou même qu’il y a dix ans ? Je ne le
pense
pas. Ce que les auteurs des traités de 1815 entendaient par l’intérêt
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n’empêche personne de dormir. Mais tout le monde
pense
à deux dangers communs : l’un idéologique et militaire, à l’Est ; l’a
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sera difficile de trancher, ne sachant pas ce que
pense
le peuple suisse. Il ne faut pas que l’histoire nous surprenne, endor
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e de la Suisse. Il serait toutefois bien léger de
penser
, ou de laisser croire, que ce propre intérêt soit seul en cause dans
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ites, sociales d’abord, individuelles finalement.
Pense-t
-on, peut-être, que la morale tomberait alors dans de très mauvaises m
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isons (pour l’instant légèrement majoritaires) de
penser
au contraire qu’elle peut contribuer à débrouiller un peu nos problèm
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simple et toute la méthode tient en trois mots :
pensez
au noir. Ne pensez pas à votre main, ni à ce que fait l’index qui a p
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méthode tient en trois mots : pensez au noir. Ne
pensez
pas à votre main, ni à ce que fait l’index qui a pris le cran d’arrêt
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’ayez voulu, le coup partira. Je vous le répète :
pensez
au but, oubliez le reste. Et maintenant vous allez essayer. Vous avez
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du conseil en trois mots de ce jeune officier — «
pensez
au noir » —, elles ne devaient m’apparaître qu’après bien des années,
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te que si je m’y engage, répondant à l’appel sans
penser
à rien d’autre. Il n’est pas jalonné, comme les grandes voies publiqu
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ssion qu’ils affirment reçue de Dieu. — À quoi je
pense
qu’on doit répondre par une vigilance redoublée dans l’examen des mar
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x laïques et au clergé de l’Église chrétienne, je
pense
que leur rôle spécifique et leur vocation générale consisteront plutô