1
raisons de vivre. Voici donc le dilemme que nous
pose
ce mimétisme totalitaire : ou bien la démocratie ne réussit pas à fai
2
ivilisation qui les produit ? Vous vous êtes tous
posé
cette question-là. Mais il ne suffit pas de se la poser et ensuite de
3
cette question-là. Mais il ne suffit pas de se la
poser
et ensuite de se lamenter. Il faut voir ce que signifie une si cruell
4
édifiaient, en présence des énormes questions que
posaient
ces énormes pouvoirs, les penseurs et les philosophes du dernier sièc
5
des peuples reste insatisfait. Il continue à nous
poser
la plus sérieuse question humaine. Et s’il n’est pas encore aussi tra
6
git de résoudre enfin l’éternel problème que nous
posent
les relations de l’individu et de la collectivité. Il s’agit de voir
7
it répondre mieux que ces doctrines à la question
posée
par l’angoisse des foules. D’où les encycliques sociales données par
8
le, avec un petit air entendu, quand certains lui
posaient
cette question : à quoi tend le progrès matériel ? Question stupide e
9
du Gothard nous dirait d’espérer. Maintenant, je
poserai
cette question : dans la situation extrême que je viens de décrire, à
10
ni non. Mais je voudrais que cette question reste
posée
. C’est lorsque tout paraît désespéré qu’on voit ce qui était vraiment
11
vrait être le type même de la communauté vivante.
Posons
tout de suite un repère : les paroisses de l’Église primitive étaient
12
, je regarde les gens qui se dispersent, et je me
pose
cette question : sont-ils prêts à mettre en commun autre chose que la
13
l’épiscopat, encore que je sois persuadé qu’il se
posera
pour nous aussi un jour ou l’autre. Je ne parlerai pas non plus du rô
14
en finir sur ce sujet, je vous demanderai de vous
poser
à vous-même cette seule question : alors que les orthodoxes, les angl
15
ionnaire dans toutes les couches de notre peuple.
Poser
enfin très sérieusement le problème de la liturgie, tant à nos bons t
16
re européen ». Mais déjà en 1939, la question se
posa
différemment. L’équilibre étant rompu au profit des puissances fascis
17
c, si j’ose dire. La seule question réelle qui se
pose
désormais, c’est de savoir si la neutralité de notre pays est encore
18
ard de l’union nécessaire. À la question qu’on me
pose
de tous côtés : Êtes-vous pour l’abandon de notre neutralité ? je ne
19
répondre oui ou non. Le problème ne peut pas être
posé
, encore moins résolu, dans l’abstrait. Ce qu’il faut savoir tout d’ab
20
n son nom des questions très précises nous soient
posées
. Cela viendra, n’en doutez pas ! Demain, soit les États-Unis, soit le
21
e de guerre contre le continent tout entier, nous
poseront
ces questions précises. Il faut que notre opinion soit prête à y répo
22
ivation pénible comme de cesser de fumer, cela ne
pose
pas de problème, on le fait sans barguigner, sans avoir à résoudre de
23
nde Machine directrice la déclare sans objet, mal
posée
, fausse question par excellence, nulle et vide quant à l’information,
24
ment la Loi prescrite, ne pourra s’empêcher de se
poser
la Question, celle qui est réputée nulle et vide. Chrétien en cela qu
25
ge, mais le droit qu’on demande et qu’on prend de
poser
toujours et encore une question au-delà de toute réponse et de toute
26
Mais ce premier coup au but avait, en un instant,
posé
et vérifié pour le reste de mes jours, sous une forme ultracondensée,
27
alyse et l’évaluation des conduites humaines. Je
pose
d’un côté ce que j’appelle les Règles du Jeu, l’ensemble des moyens d
28
les du Jeu, l’ensemble des moyens de vivre. Et je
pose
de l’autre côté la Vocation, le Sérieux final, le But ultime de notre
29
questions qu’à tenter d’imposer des réponses ; à
poser
avant tout, en temps et hors de temps, la Question, celle du Sens, ce