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e mettent en devoir et en mesure de remplacer les
préceptes
et coutumes de la morale traditionnelle, dite « chrétienne », et sont
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ein de contradictions intenables, que forment les
préceptes
du Décalogue et des sédimentations millénaires de nos coutumes serait
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moyen de les corriger, sans plus tenir compte des
préceptes
reçus. Je ne tardai pas à marquer quelques points, sauvant l’honneur
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îtrise d’une technique éprouvée, l’obéissance aux
préceptes
légaux et coutumiers, ne suffisent pas pour atteindre le but, et peuv
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iente plus strictement qu’aucune méthode ou aucun
précepte
reçu. 3. Toute action efficace commence donc par la fin. Avant toute
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ficile de les modifier ; en revanche, quantité de
préceptes
moraux que tel peuple tient pour la traduction directe des réalités f
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premièrement, on peut démontrer que les règles et
préceptes
de toutes les morales humaines sont conventionnels, et non pas « natu
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j’estime qu’il y a tout avantage à considérer les
préceptes
et codes de la morale comme les règles du jeu d’une société ; 2. ceci
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xclut, du même mouvement, la sacralisation de ces
préceptes
et recettes, et la prétention tout à fait abusive à les fonder dans l