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aucoup de documents indiscutables nous obligent à
prendre au sérieux
cet aspect proprement « catholique » de la religion du Bienheureux. T
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sme modéré du dernier siècle. Nous ne savons plus
prendre au sérieux
« ce qui nous dépasse », tant par en haut que par en bas. La croyance
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irement sur l’Occident, si celui-ci persiste à ne
prendre au sérieux
que les valeurs de bourse et la « prosperity ». Kierkegaard nous décr
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arle avec une calme autorité, et non pas que l’on
prenne au sérieux
mes doutes éventuels. Notre génération n’est pas si tourmentée de dou