1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 x tâtonnements. D’autre part, la fameuse « petite prière  » de Nicolas (das Gebetlein) popularisée par la littérature hagiograp
2 r le souvenir du Frère Claus ». Quant à la petite prière que je citais plus haut (Gebetlein), elle avait été connue et publiée
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
3 e du culte qui n’est pas le sermon, les lectures, prières et chants réglés et réguliers. Depuis mon retour en Suisse j’éprouve
4 rive qu’on lise, au début d’un de nos cultes, une prière liturgique isolée, comme la confession des péchés, certains pasteurs
5 quoi refuserions-nous de nous agenouiller pour la prière publique, ou pendant la lecture de la confession des péchés, par exem
3 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
6 rait nous guider… » — je voudrais dire ici que la prière est le seul moyen que l’Évangile propose pour accorder au Transcendan
7 meut à prier. Les « soupirs inexprimables » de la prière en nous répondent seuls à la réalité de l’indicible ; or toute vocati