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x tâtonnements. D’autre part, la fameuse « petite
prière
» de Nicolas (das Gebetlein) popularisée par la littérature hagiograp
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r le souvenir du Frère Claus ». Quant à la petite
prière
que je citais plus haut (Gebetlein), elle avait été connue et publiée
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e du culte qui n’est pas le sermon, les lectures,
prières
et chants réglés et réguliers. Depuis mon retour en Suisse j’éprouve
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rive qu’on lise, au début d’un de nos cultes, une
prière
liturgique isolée, comme la confession des péchés, certains pasteurs
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quoi refuserions-nous de nous agenouiller pour la
prière
publique, ou pendant la lecture de la confession des péchés, par exem
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rait nous guider… » — je voudrais dire ici que la
prière
est le seul moyen que l’Évangile propose pour accorder au Transcendan
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meut à prier. Les « soupirs inexprimables » de la
prière
en nous répondent seuls à la réalité de l’indicible ; or toute vocati