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les nous obligent à prendre au sérieux cet aspect
proprement
« catholique » de la religion du Bienheureux. Toutefois, je ne puis m
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tisme cette piété d’un type tout à fait original,
proprement
germanique, ou plus précisément encore, souabe et rhénane. Nous somme
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uelques mots cette « piété germanique », de forme
proprement
mystique. Qu’il suffise d’indiquer qu’elle représentait, face à l’Égl