1
dont nous sommes devenus les maîtres est la seule
règle
de toute activité, culturelle, politique, ou même religieuse. » C’éta
2
mas d’Aquin, fixait à la pensée et à l’action des
règles
véritablement communes, ordonnées à une même foi, à un même évangile,
3
ssive par la Science socialisée de l’ensemble des
règles
, prescriptions et conseils intéressant les conduites humaines et nagu
4
inal, sa destination ultime, sa vocation. Car les
règles
et les moyens de la vie sociale sont séculiers, par nature et destina
5
ne personne unique. Si les ordinateurs disent les
règles
et les normes, et si ces règles et ces normes sont toutes, par défini
6
ateurs disent les règles et les normes, et si ces
règles
et ces normes sont toutes, par définition, générales ou généralisante
7
humaines. Je pose d’un côté ce que j’appelle les
Règles
du Jeu, l’ensemble des moyens de vivre. Et je pose de l’autre côté la
8
inal, le But ultime de notre vie personnelle. Les
Règles
du Jeu comprennent, dans ma définition, l’ensemble des méthodes et de
9
guider les conduites de ses membres. Cela va des
règles
du jeu d’échecs à la prohibition de l’inceste chez les tribus sauvage
10
ie sociale, c’est-à-dire à toute vie humaine. Les
règles
du jeu d’échecs sont des conventions, c’est clair, mais elles font to
11
dant une heure, car il est chargé de sens par les
règles
du jeu. Quant aux feux verts et aux feux rouges, ils sont conventionn
12
ent : car premièrement, on peut démontrer que les
règles
et préceptes de toutes les morales humaines sont conventionnels, et n
13
imilation des normes et prescriptions morales aux
règles
d’un jeu ne signifie nullement qu’il faille les prendre à la légère,
14
t l’intérêt du jeu, puisque cet intérêt tient aux
règles
et à rien d’autre. S’il est admis que les normes de la morale sont de
15
il est admis que les normes de la morale sont des
règles
d’un jeu, toute espèce de laxisme est exclu, toute faute doit être ex
16
c d’observer rigoureusement, comme on le fait des
règles
d’un jeu, il faut souligner aussitôt que ces conventions ne sauraient
17
é occidentale christianisée est tout encombrée de
règles
contradictoires entre elles, ou impraticables, ou néfastes, et il est
18
mais ce n’est pas un code, une loi, un recueil de
règles
, et c’est même ce qui devrait permettre de se passer de code, de lois
19
vrait permettre de se passer de code, de lois, de
règles
… « Ama et fac quod vis » est sans doute le summum de la morale mais c
20
rer les préceptes et codes de la morale comme les
règles
du jeu d’une société ; 2. ceci implique — et facilite d’ailleurs — un
21
acilite d’ailleurs — une stricte obéissance à ces
règles
, comme il va de soi dans tous les jeux et sports d’équipe ; 3. ceci e
22
ent des trois premiers points : l’observation des
règles
ou au contraire les infractions commises par un joueur n’entraînent p
23
nalisé ou même disqualifié, mais si l’on suit les
règles
normalement, on n’est pas pour autant bon ou mauvais : simplement on
24
bien ou mal. Point de « péché » dans le monde des
règles
du jeu, mais seulement des erreurs, maladresses, fautes de calcul, dé
25
otion de péché n’a pas sa place dans le monde des
règles
du jeu, mais prend son sens dans le monde de la vocation. Voici comme
26
enter d’y faire. La dichotomie proposée entre les
règles
du jeu d’une part, et la vocation d’autre part ; entre la régulation
27
pel qui nous en vient. Ce n’est pas appliquer une
règle
connue, la même pour tous, en tous les temps, et révélée une fois pou
28
l’Antiquité vivaient dans la certitude éthique —
règles
et rites invariables, jamais mis en question. Les scientifiques, dema