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idu raisonnable. Dans l’Empire romain, tout était
réglé
par le droit d’État. Chez les Juifs, c’était la Loi de Moïse qui ordo
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st pas le sermon, les lectures, prières et chants
réglés
et réguliers. Depuis mon retour en Suisse j’éprouve avec intensité l’
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re participe d’une manière à la fois spontanée et
réglée
d’avance. Or nos cultes soi-disant liturgiques sont exactement le con
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improbable. Les grandes voies publiques, bien que
réglées
par la Loi, ne me servent de rien pour « faire mon salut » comme disa
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croyaient dur comme fer que leur mission était de
régler
la conduite morale de nos peuples n’ont pas réussi à empêcher ni même