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l : D’abord il a utilisé le défaut de civisme qui
résultait
de la destruction de toute commune mesure dans la cité (ou d’un défau
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omment « fédéral » ce qui procède de Berne. Il en
résulte
que leur fédéralisme se résume à combattre tout ce qui est dit fédéra
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s raisons véritables de ce statut spécial, qui ne
résulte
pas d’une loi éternelle de la nature, ni d’un commandement de Moïse,
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t j’introduis ici une remarque nouvelle, mais qui
résulte
logiquement des trois premiers points : l’observation des règles ou a