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eil, une révélation. (Beaucoup nous ont laissé la
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de leur visite : unanimes dans l’admiration devant cet « homme de Die
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plus ou moins hérétique n’est pas sans d’intimes
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avec les doctrines mystiques de Suso et de Tauler, et par eux, de Maî
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s tabous de la tribu, mais en même temps privé de
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concrètes. Or la communauté des hommes se fonde d’abord sur des relat
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la communauté des hommes se fonde d’abord sur des
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charnelles et concrètes. C’est pourquoi l’individualisme qui les négl
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udre enfin l’éternel problème que nous posent les
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de l’individu et de la collectivité. Il s’agit de voir que l’homme co
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ais d’autre part, cette vocation unique le met en
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avec des frères et l’introduit dans une communauté nouvelle. Voilà l’
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ices qu’eût entraînés un règlement plus juste des
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sociales et internationales, pour avoir refusé obstinément tout ce qu
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eulement sur le plan social, mais sur le plan des
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de peuple à peuple. Tout ce que nous jugions impossible quand il s’ag
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e raison se rapporte étroitement à mon sujet, aux
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entre l’Église et la Suisse, ou pour être concret : aux relations ent
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l’Église et la Suisse, ou pour être concret : aux
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entre nos Églises et nous, les Suisses. Le peuple suisse, en général,
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à rester démocrates et sans façon jusque dans nos
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avec le Tout-Puissant, qui est pourtant nommé Monarque, Seigneur et R
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5 et l’URSS de Staline, lorsqu’il s’agit de leurs
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avec l’Europe ; qu’il tienne l’URSS — malgré elle ! — pour une puissa
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cette terre et après ma mort ; la question de ma
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à la transcendance. Elle demeure sans réponse, non point par accident
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es jours, sous une forme ultracondensée, la juste
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des moyens et des fins. Je n’en tirai d’abord que des formules abstra
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ions dans une culture, une civilisation, dans les
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entre les hommes, ou même entre deux êtres, si frustes qu’ils soient.