1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 st pas ainsi que je conçois la charité. Quand les Romains adoraient leur empereur, les chrétiens ne craignaient pas de passer p
2 peuvent se tromper et reconnaissant que l’Église romaine est infaillible. L’Église grecque lui en sut très mauvais gré et lui
2 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
3 — le concile avait substitué un pontife unique et romain . On avait condamné Jean Huss, le premier qui eût osé proclamer la néc
4 cette espèce de réaction intérieure au formalisme romain , qu’ont représenté les Amis de Dieu. Et l’on conçoit que ce mouvement
5 tain accaparement de Nicolas de Flue par l’Église romaine , la signification qu’il eut, en fait, pour les premières générations
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
6 a mesure de l’individu raisonnable. Dans l’Empire romain , tout était réglé par le droit d’État. Chez les Juifs, c’était la Loi
7 chie individualiste de la Grèce répond l’étatisme romain . Au collectivisme sacral du Moyen Âge répond la révolte individualist
4 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
8 i les soutenait. Pendant la décadence de l’Empire romain , ces paroisses ont constitué les cellules de base d’une nouvelle soci
5 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
9 res sociétés, notamment la cité grecque, l’Empire romain , la Sippe germanique, ou les interdits et devoirs sacrés d’autres rel