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le des « frères mendiants » qui s’en vont sur les
routes
, au hasard, abandonnés au souffle de l’Esprit. Il fait part à sa femm
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grès nous a mis des œillères. Et quand soudain la
route
normale se trouve barrée ou coupée par un précipice, nous voici piteu
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millions de femmes et d’enfants en fuite sur les
routes
de France ? Nous n’avons plus qu’un seul espoir — quelle que soit l’i
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nnu, comme ces avions qui dans la nuit suivent la
route
créée par un faisceau sonore. Mais ce chemin sans précédent, — puisqu
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rveillés par la police, là où règne le Code de la
route
, qui est aussi fait pour moi, ajouteront-ils, sévères. Oui, bien sûr,