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aginer quelque chose d’excessif par rapport à nos
sécurités
. Cette inconscience j’en dirai la cause : celui qui ne croit pas en D
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lez-vous que nous ayons l’amour, et la paix et la
sécurité
? Nous avons la peur et la guerre. Nous avons ce que méritons. Nous s
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nd symbole de notre mission politique et de notre
sécurité
. Et s’il fallait qu’un jour la Suisse fût envahie, j’imagine qu’elle
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u jour où il faudra choisir entre l’Église et nos
sécurités
. Je vois bien que nos Églises constituent des unités administratives
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’histoire nous surprenne, endormis dans la fausse
sécurité
d’une tradition qui a peut-être fait son temps, endormis derrière la
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nt sans doute aussi loin qu’on voudra et en toute
sécurité
, c’est bien utile et agréable, — mais jamais où je dois aller, qui es