1
déployait le quart de l’énergie et de l’esprit de
sacrifice
qu’on met ordinairement dans le métier des armes, il est certain qu’o
2
es de la défense nationale. Pour avoir refusé les
sacrifices
qu’eût entraînés un règlement plus juste des relations sociales et in
3
nations, nous voici contraints brutalement à des
sacrifices
mille fois pires, inévitables et stériles. Le plus étrange est que ce
4
vitables et stériles. Le plus étrange est que ces
sacrifices
se révèlent parfaitement « possibles ». Dès qu’il s’agit de sauver no
5
its et les cœurs avec une telle puissance que les
sacrifices
matériels devenaient simplement des services d’amitié, de ces service
6
lits intérieurs dramatiques, on ne parle pas de «
sacrifices
» plus ou moins « joyeusement consentis », de « tortures morales », d