1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 ne dis pas que je les ai trouvées. Je dis que le salut serait de les trouver. La force des totalitaires c’est d’entraîner le
2 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
2 sement, il sentait croître en lui l’inquiétude du salut . J’ai été attaché avec zèle aux lois papistes autant que n’importe q
3 vec grand sérieux comme saintes et nécessaires au salut . Avec tout le soin dont j’étais capable, je me suis efforcé de les ob
4 de devenir prêtre, mais surtout en cherchant son salut dans une solitude érémitique d’ailleurs pleine d’activité autant que
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
5 de dans le spiritualisme, alors que je ne vois de salut pour l’esprit que dans la présence effective de la pensée et de la fo
4 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
6 Envisager, c’est regarder en plein visage. Notre salut , le seul et le dernier possible — quelle que soit l’issue de la guerr
5 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
7 ascistes, avec leurs fêtes, leurs insignes, leurs saluts rituels. J’ai assisté à des cérémonies hitlériennes qui étaient déjà
8 ngue frappante les différents moments du drame du salut . Elle crée le cadre et l’atmosphère spirituelle, elle introduit le se
6 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
9 it des puissances fascistes, la Suisse ne dut son salut qu’à une chance extraordinaire, aidée par une armée solide et un terr
7 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
10 ar la Loi, ne me servent de rien pour « faire mon salut  » comme disait la piété classique. Il me faut me risquer dans un mond