1
ne dis pas que je les ai trouvées. Je dis que le
salut
serait de les trouver. La force des totalitaires c’est d’entraîner le
2
sement, il sentait croître en lui l’inquiétude du
salut
. J’ai été attaché avec zèle aux lois papistes autant que n’importe q
3
vec grand sérieux comme saintes et nécessaires au
salut
. Avec tout le soin dont j’étais capable, je me suis efforcé de les ob
4
de devenir prêtre, mais surtout en cherchant son
salut
dans une solitude érémitique d’ailleurs pleine d’activité autant que
5
de dans le spiritualisme, alors que je ne vois de
salut
pour l’esprit que dans la présence effective de la pensée et de la fo
6
Envisager, c’est regarder en plein visage. Notre
salut
, le seul et le dernier possible — quelle que soit l’issue de la guerr
7
ascistes, avec leurs fêtes, leurs insignes, leurs
saluts
rituels. J’ai assisté à des cérémonies hitlériennes qui étaient déjà
8
ngue frappante les différents moments du drame du
salut
. Elle crée le cadre et l’atmosphère spirituelle, elle introduit le se
9
it des puissances fascistes, la Suisse ne dut son
salut
qu’à une chance extraordinaire, aidée par une armée solide et un terr
10
ar la Loi, ne me servent de rien pour « faire mon
salut
» comme disait la piété classique. Il me faut me risquer dans un mond