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u maire socialiste ou le tuaient, puis rentraient
sans
être inquiétés. Et cela, des centaines de fois. Comment ces crimes on
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sin, à perdre la mesure de ce qu’il peut dépenser
sans
s’affaiblir. Les armements deviennent trop lourds pour lui : ils le g
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vous m’armez ! Donnez-moi un 75, vous me laissez
sans
défense : c’est trop lourd pour moi. » Exemple à retenir, pour un pet
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n Europe, c’est que nous avons laissé les peuples
sans
commune mesure spirituelle. Nous avons tous trahi le grand devoir com
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ation anxieuse. Et pour tout dire, je ne suis pas
sans
espoir. Les faux dieux ne font pas de miracles. Je ne me lasserai jam
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rits populaires sur le Bienheureux, ce ne fut pas
sans
émerveillement que j’entrevis la réalité historique du personnage. À
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rtition chorale. Le choix de ce sujet n’a pas été
sans
surprendre certains de mes amis protestants, et — pour d’autres raiso
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ut-être aussi rêve-t-il comme tout son siècle, et
sans
le savoir, d’une piété plus intérieure, d’un contact plus direct, plu
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n corps plus d’efforts qu’il n’en pouvait fournir
sans
danger pour la santé… Tout ce que je faisais, je le faisais en toute
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e, ce mouvement plus ou moins hérétique n’est pas
sans
d’intimes relations avec les doctrines mystiques de Suso et de Tauler
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sin des Vaudois, ou Pauvres de Lyon, se confondit
sans
nulle difficulté avec le calvinisme.) Nicolas de Flue et les réfor
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r assez la science, et surtout l’honnêteté. C’est
sans
aucun doute à cette dernière qualité que nous devons de pouvoir redéc
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premières générations de la Réforme. Ce n’est pas
sans
un joyeux étonnement que je suis tombé, dans Dürrer, à peine les gros
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eur œuvre de réforme de l’Église. Et ce n’est pas
sans
un léger mouvement de triomphe, je l’avoue, que j’ai trouvé ce fait,
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as du côté de la Réforme). Il n’est peut-être pas
sans
intérêt de donner ici un aperçu rapide de cette littérature réformée
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e l’auteur à voir le nom et les conseils du Frère
sans
cesse revendiqués par les protestants au cours des disputes concernan
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et représentée par des étudiants. Elle n’est pas
sans
intérêt dramatique ni sans verve, mais on est frappé de constater une
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diants. Elle n’est pas sans intérêt dramatique ni
sans
verve, mais on est frappé de constater une fois de plus que seule la
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aisons dont il ne remarquait pas qu’elles étaient
sans
commune mesure. Au moraliste qui s’indignait, il aurait simplement ré
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archie, s’ils se développaient chacun de son côté
sans
tenir compte d’aucune harmonie ni d’aucune mesure humaine, ils ne pou
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es que les échanges d’idées pouvaient se produire
sans
erreur ni malentendu. Les lieux communs étaient donc à la base de tou
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action régulatrice sur la cité. Elles ont assisté
sans
mot dire à l’essor du capitalisme et aux transformations sociales qu’
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s de gagner la vraie paix, c’est à nous d’engager
sans
illusion le vrai combat qui nous maintienne humains. Tout cela, un je
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monde, mais seulement sur l’état de leurs nerfs.
Sans
intérêt. Ce qu’il nous faut à l’heure que nous vivons, ce sont des pe
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là que de petits exemples…4 Nous avons critiqué
sans
merci comme des « utopies subversives » certaines réformes sociales q
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qu’ils viennent, qui ont faim et soif de vérité,
sans
le savoir le plus souvent. Il est grand temps que nous fassions en so
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ent entrer, puissent écouter et puissent entendre
sans
éprouver le sentiment de s’être égarés dans un milieu où ils sont dép
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rande loi sociologique qu’on ne peut pas négliger
sans
risques graves. Tous les fondateurs de régimes savent que pour créer
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s suggérer que nous tenons à rester démocrates et
sans
façon jusque dans nos relations avec le Tout-Puissant, qui est pourta
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ondamentale et même d’y conformer notre maintien.
Sans
aller jusqu’à imiter les génuflexions multipliées des orthodoxes russ
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nnelle, physique même, au culte public, n’est pas
sans
portée spirituelle. Se lever, prier ensemble à haute voix, s’agenouil
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sur le continent qui croient pouvoir s’en passer,
sans
dommage ? L’absence de liturgie, remarquez-le, est un obstacle assez
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glicane, qui attache à la liturgie une importance
sans
cesse croissante.) Et pourtant, les Églises de Suisse devraient avoir
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aissance très vivante d’une autre espèce d’union,
sans
cesse à recréer. Or l’inertie des masses et l’à-peu-près intellectuel
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es masses et l’à-peu-près intellectuel s’opposent
sans
cesse à cette reprise de conscience. D’où la nécessité d’une vigilant
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veut, c’est faire du commerce avec tout le monde,
sans
se compromettre avec personne, tout en échappant au reproche d’égoïsm
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litiques de notre temps ! Où donc ai-je soutenu «
sans
réserve » que la Suisse devrait subordonner sa politique à « l’intérê
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ne pas dire totalitaires, et marquent des succès
sans
cesse croissants. Nos sciences physiques et humaines — médecine, biol
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vancés, vers une société qui serait, à la limite,
sans
surprises ni drames, sans vrais débats (j’entends : sans débats insol
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ui serait, à la limite, sans surprises ni drames,
sans
vrais débats (j’entends : sans débats insolubles), sans Histoire donc
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rprises ni drames, sans vrais débats (j’entends :
sans
débats insolubles), sans Histoire donc ; disciplinée, normalisée et p
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rais débats (j’entends : sans débats insolubles),
sans
Histoire donc ; disciplinée, normalisée et préconditionnée dès le sec
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e fumer, cela ne pose pas de problème, on le fait
sans
barguigner, sans avoir à résoudre de conflits intérieurs dramatiques,
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pose pas de problème, on le fait sans barguigner,
sans
avoir à résoudre de conflits intérieurs dramatiques, on ne parle pas
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tures morales », de « tentation surmontée », etc.
Sans
délai, sans débat, sans le moindre doute, on fait ce qu’a ordonné le
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s », de « tentation surmontée », etc. Sans délai,
sans
débat, sans le moindre doute, on fait ce qu’a ordonné le médecin, au
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ntation surmontée », etc. Sans délai, sans débat,
sans
le moindre doute, on fait ce qu’a ordonné le médecin, au lieu de se d
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culture. Une question et une seule demeure alors
sans
réponse : la question du sens de ma vie sur cette terre et après ma m
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n de ma relation à la transcendance. Elle demeure
sans
réponse, non point par accident, mais par nécessité de méthode. Car l
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hode. Car la grande Machine directrice la déclare
sans
objet, mal posée, fausse question par excellence, nulle et vide quant
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stion cet ajustement trop parfait, pour l’exposer
sans
cesse à la question des fins dernières, métaphysiques et spirituelles
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ecret de mes erreurs et le moyen de les corriger,
sans
plus tenir compte des préceptes reçus. Je ne tardai pas à marquer que
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feux rouges, ils sont conventionnels aussi, mais
sans
eux, c’est l’embouteillage. Ceux donc qui, depuis deux siècles, repre
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oute créée par un faisceau sonore. Mais ce chemin
sans
précédent, — puisqu’il part de moi seul pour me conduire là où conver
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’existe que si je m’y engage, répondant à l’appel
sans
penser à rien d’autre. Il n’est pas jalonné, comme les grandes voies
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(dont parlait Kierkegaard), un risque absolument
sans
précédent puisqu’il est institué pour moi seul. Et dans tout cela je
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que j’ai cru entendre, c’est le refus d’y croire
sans
preuve dont je puisse faire état « objectivement ». Mon péché, c’est
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oup trop court pour tout ce qu’il prétend remuer,
sans
avoir indiqué au moins les principales objections que je suis le prem
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formuler contre mes thèses — et que j’examinerai
sans
pitié dans mon livre — mais j’aimerais indiquer aussi l’esprit des ré
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? — Eh bien non, je n’en suis jamais sûr ! La foi
sans
le doute n’est pas la foi, ont répété bien avant moi Luther et Kierke