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« mise au pas » brutale qui nous dispense de nous
sentir
les responsables de la cité et de l’État. D’autre part, il nous tente
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[…] et peut-être réussirons-nous à y croire. Ne
sentez
-vous pas une angoisse dans ce peut-être ? Et dans cette volonté de cr
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rtains catholiques qui ont bien voulu me le faire
sentir
. Il m’a semblé que je devais aux uns et aux autres une brève explicat
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ques d’une extrême dévotion, ses proches ont bien
senti
le drame intime, longuement couvé et mûri. Sans doute a-t-il eu des v
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l’Église ; mais loin d’y trouver l’apaisement, il
sentait
croître en lui l’inquiétude du salut. J’ai été attaché avec zèle aux
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est extrêmement défavorable au Bienheureux. On y
sent
l’agacement de l’auteur à voir le nom et les conseils du Frère sans c
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ue devient pratiquement impossible. Les masses le
sentent
aussi bien que les chefs, obscurément, dans les trop grands pays. C’e
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s. L’homme isolé, dans un monde trop vaste, ne se
sent
plus porté au sein d’un groupe. Déraciné, il flotte, il erre, il n’of
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ans le monde moderne. Car supposez qu’un homme se
sente
une vocation et décide de la réaliser. Il se trouve en présence d’un
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ataliste. Ce qui paralysait les intellectuels qui
sentaient
le besoin d’agir sur les destins de la cité, c’était, depuis Hegel, A
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in. Je me demande si les fidèles de nos cultes se
sentent
plus fortement liés aux autres membres de l’Église qu’ils ne sont lié
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de l’Église depuis plus d’un siècle : elle ne s’y
sent
pas tout à fait chez elle ; elle n’y reconnaît pas son langage. Il y
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te. L’étranger qui entrera dans nos temples ne se
sentira
plus perdu chez les braves gens, mais accueilli dans une maison de Di