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qualifiées « d’odieuses provocations marxistes ».
Si
le fascisme s’est imposé, c’est donc d’abord grâce à la protection de
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Il nous faut refaire une commune mesure vivante.
Si
nous ne la faisons pas, d’autres s’en chargeront, l’appel existe, et
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un chômage effrayant. Raisonnement bien curieux,
si
l’on y réfléchit. Quand il y a trop de médecins dans un pays, et donc
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er la pluie, on se jette à l’eau. Autre danger :
si
l’on accepte de jouer le jeu des armements, l’effrénée concurrence co
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édération. Souvenons-nous du sort de l’Autriche !
Si
ce pays a succombé, ce n’est point tant qu’il ait cédé à la menace mi
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e le seul avenir possible d’une Europe pacifique.
Si
nous restons cela, si nous prenons conscience tout à nouveau de la gr
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ble d’une Europe pacifique. Si nous restons cela,
si
nous prenons conscience tout à nouveau de la grandeur d’une pareille
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et voilà la conscience de notre force véritable.
Si
nous avons le droit et le devoir de rester neutres, ce n’est pas comm
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n’ont pas de raisons de tenir le moindre compte.
Si
nous avons le droit d’être neutres, ce n’est pas en vertu d’un privil
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vous êtes contre l’armée ? Je serais contre elle
si
je croyais que dès maintenant nous sommes assez forts moralement deva
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ental : la croyance à la validité de la violence.
Si
tout d’un coup l’un des lutteurs supprime cet accord fondamental et p
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e jiu-jitsu moral que nous devrions nous exercer.
Si
l’on y déployait le quart de l’énergie et de l’esprit de sacrifice qu
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d’abord. Aucune doctrine ne peut être chrétienne
si
elle ne se fonde pas sur la repentance, qui est une violence faite à
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e orgueil. Reconnaissons, Églises et fidèles, que
si
la pseudo-religion totalitaire triomphe aujourd’hui en Europe, c’est
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re. Celui que j’appelle l’homme total. Je ne sais
si
nous réussirons, mais nous aurons du moins sauvé l’honneur de cette g
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rendre vraiment au sérieux un drame qui se dénoue
si
facilement, un héros dont l’activité se résume dans ses « bonnes paro
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chargés d’obtenir son appui : car son conseil est
si
puissant parmi les Suisses qu’on a coutume de s’adresser d’abord à lu
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sibles. Quoi qu’il en soit, la Diète proclama que
si
la paix avait été sauvée, et avec elle le sort de la fédération, on l
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ussi que l’essentiel de la personne nous échappe,
si
nous nous limitons au savoir historique. J’entends qu’il est très dif
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s me persuader qu’il ait été décisif dans sa vie.
Si
l’on considère d’une part la sainteté des œuvres qu’il pratique et d’
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é-réformés qui, nous le verrons plus loin, furent
si
nettement perçus par ses après-venants. On serait tenté de chercher a
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de réformer les mœurs ecclésiastiques sont choses
si
courantes au Moyen Âge qu’il serait imprudent d’y chercher un trait s
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iquer — dans la mesure où l’on peut l’expliquer —
si
l’on ne tenait pas compte de cet environnement spirituel, et des cont
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pays » que nous devons approuver comme chrétiens,
si
nous ne voulons que d’autres s’en emparent. 3. Ce trait sera relev
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de se lamenter. Il faut voir ce que signifie une
si
cruelle disharmonie, quelles sont ses causes, et s’il existe des remè
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actions. Cette absence d’un principe d’unité est
si
totale qu’on ne la ressent même plus comme un scandale. Elle est deve
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ance spontanée et universelle. Et ses effets sont
si
nombreux, si quotidiens, qu’on finit par ne plus les voir. Il est adm
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e et universelle. Et ses effets sont si nombreux,
si
quotidiens, qu’on finit par ne plus les voir. Il est admis, dans notr
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de tels pouvoirs de vie et de mort. Songez donc :
si
tous ces pouvoirs avaient été coordonnés, orientés par une vue généra
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estinée, ils pouvaient créer une belle vie ! Mais
si
ces mêmes pouvoirs étaient abandonnés à l’anarchie, s’ils se développ
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autre, l’activité révolutionnaire des créateurs.
Si
j’affirme que mon but est de sauver l’esprit, le marxiste en déduira
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rdre enfin signifiera tantôt le statu quo social,
si
absurde qu’il soit, tantôt l’établissement d’une hiérarchie nouvelle
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e communauté. Alors paraît le règne de la force !
Si
nulle autorité spirituelle ne peut fixer le sens des mots, la propaga
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ni moins. — La question est de savoir, dit Alice,
si
vous pouvez faire que les mêmes mots signifient des choses différente
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, ou même religieuse. » C’était un coup de génie,
si
le génie consiste à deviner et à prévenir les inconscients désirs d’u
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ertes des réalités. Mais des réalités partielles.
Si
la loi qu’on impose à tous est calculée seulement pour certains types
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si, cet appel exigera une réponse. Reste à savoir
si
nous saurons la lui donner, si nous saurons utiliser le délai qui nou
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se. Reste à savoir si nous saurons la lui donner,
si
nous saurons utiliser le délai qui nous est accordé, à nous les neutr
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tèmes de mesures inventés par l’esprit humain. Or
si
la science elle-même vient nous dire que même dans l’ordre matériel,
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e à se manifester selon sa vocation particulière.
Si
j’insiste sur cet axiome, c’est qu’il est particulièrement libérateur
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du triomphe des grands mouvements collectivistes.
Si
le marxisme, par exemple, a fasciné les masses ouvrières, c’est parce
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sme ou d’idéalisme. Il s’agit de voir qu’en fait,
si
nous sommes là, au service du pays, ce n’est pas pour défendre des fr
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t très volontiers de ce travail de Heimatschutz.)
Si
nous sommes là, c’est pour exécuter la mission dont nous sommes respo
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or, d’affirmer sa santé, et de sauver son avenir.
Si
nous trahissons cette mission, si nous n’en prenons pas conscience, a
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ver son avenir. Si nous trahissons cette mission,
si
nous n’en prenons pas conscience, alors seulement j’aurai des crainte
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sé dans l’épuisement général. Cela ne se fera que
si
des hommes solides, informés par une expérience séculaire entreprenne
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origine de notre aveuglement, il y a incrédulité.
Si
Dieu existait, pleurons-nous, il ne permettrait pas cela ! Nous oubli
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st nous aussi, et que Dieu malgré tout nous aime.
Si
nous avions su croire en lui pendant le temps de sa patience, nous au
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efuse de se demander à quoi servira cet argent ou
si
le confort matériel favorise un bien spirituel. À la première de ces
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ment qui s’abattra nécessairement sur l’Occident,
si
celui-ci persiste à ne prendre au sérieux que les valeurs de bourse e
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féroces. Vinet prévoit que les libertés sociales,
si
nul effort spirituel ne les oriente, aboutiront au despotisme de l’Ét
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l’« économisme » de son temps, il ose écrire : «
Si
quelque chose aujourd’hui menace la liberté, ce n’est pas comme jadis
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s’agit du mieux mourir ou du mieux tuer. Eh bien
si
la peur et la guerre sont seules capables d’obtenir de nous un dépass
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Mais nul espoir n’est plus possible, sachons-le,
si
nous refusons maintenant encore d’envisager les causes du désastre. E
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dérisoire, bonne pour des spectateurs… Pourtant,
si
nous en triomphons, elle nous donnera la force de préparer l’avenir.
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saut. On trouvera de l’argent pour 40 chars, mais
si
je demande qu’on double un budget culturel, on me répondra que je veu
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littéral de ce mot. Mais je me demande seulement
si
elles sont prêtes à envisager certains actes de solidarité pratique ;
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envisager certains actes de solidarité pratique ;
si
elles acceptent, au moins en théorie, de faire quelque chose dans ce
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stances l’exigent un jour prochain. Je me demande
si
les fidèles de nos cultes se sentent plus fortement liés aux autres m
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as encore une vraie communauté. Des actes isolés,
si
beaux soient-ils, cela ne fait pas un esprit de corps, — et l’express
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e au paganisme qui nous guette, et qui, lui, sait
si
bien s’organiser. Je ne puis pas vous énumérer toutes les conditions
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Veuillez d’abord avoir une religion pour vous et
si
vous n’en voulez pas pour vous, mais seulement pour tout le monde, fa
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à l’État comme une autorité souveraine 9. Alors,
si
l’État change, l’Église ne changera pas. Et si l’État devient païen,
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s, si l’État change, l’Église ne changera pas. Et
si
l’État devient païen, l’Église pourra rester le lieu où les justes ra
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mmes sont ordonnés par la Parole et par l’Esprit.
Si
l’on se remémore les événements qui ont amené la création de l’Église
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question de zèle missionnaire, d’amour des âmes.
Si
nous avons ce zèle et ce souci, l’atmosphère un peu renfermée de cert
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mes doutes éventuels. Notre génération n’est pas
si
tourmentée de doutes. Elle n’a guère la manie de discuter. Elle atten
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nt ? Pourquoi ne parlerait-elle pas de politique,
si
elle le fait sur la seule base de la Bible ? On ne lui demande pas un
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nt spontané : « Mon Dieu, ta loi est sainte… mais
si
tu comptes nos iniquités, qui pourra subsister devant toi ! »). III.
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ssé de l’auditoire. Mais cela n’est rien encore :
si
elle est de bonne volonté et avide de vérité, elle ne se laissera pas
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lui aura donné la clef. Il en ira tout autrement,
si
le culte débute par la liturgie que je viens de vous résumer. Cette l
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ien nommer le sans-gêne spirituel. Je ne sais pas
si
cela provient du fait qu’on parle un peu trop facilement du Bon Dieu,
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. D’où la nécessité d’une vigilante autocritique,
si
l’on ne veut pas déchoir ou se laisser dissoudre, si l’on veut durer
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l’on ne veut pas déchoir ou se laisser dissoudre,
si
l’on veut durer et surtout, si l’on prétend se donner en exemple. C
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laisser dissoudre, si l’on veut durer et surtout,
si
l’on prétend se donner en exemple. Clarifions notre langage ! — Pui
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nos journaux ne se lassent pas d’invoquer — comme
si
cela allait de soi — chaque fois qu’on nous propose d’entrer dans une
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rce prolongé, ils sont hélas plus discutables. Et
si
vraiment notre neutralité n’était rien d’autre que ce que le Suisse m
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s en plus le reste du monde. Comment les Suisses,
si
jalousement ennemis de privilèges dans leur pays, peuvent-ils prétend
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ntérêt européen dans notre abstention du conflit.
Si
la Suisse avait pris parti, à ce moment-là, elle se fût déchirée en d
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danger commun. Nous sommes tous dans le même sac,
si
j’ose dire. La seule question réelle qui se pose désormais, c’est de
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ion réelle qui se pose désormais, c’est de savoir
si
la neutralité de notre pays est encore « dans les vrais intérêts de l
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réponse que j’essaie de trouver n’est pas simple.
Si
l’effort militaire considérable que nous impose notre statut de neutr
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hui sur le plan militaire — il faut la maintenir.
Si
au contraire elle devient un prétexte à freiner l’union de l’Europe e
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paux États de l’Europe » ? J’ai dit seulement que
si
la Suisse un jour décidait de renoncer à sa neutralité, ce ne pourrai
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bien la réalité de notre temps ? Oui sans doute,
si
nous bornons l’enquête aux élites de nos églises en Europe. Mais dans
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u soulagement général). Oserai-je vous avouer que
si
je tiens ces craintes pour justifiées quant aux faits, je ne les part
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s, depuis la fin du xviiie siècle et jusqu’à pas
si
longtemps que cela, en Suisse romande, si j’en crois mes souvenirs de
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u’à pas si longtemps que cela, en Suisse romande,
si
j’en crois mes souvenirs de jeunesse. Si les Églises (et pas seulemen
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romande, si j’en crois mes souvenirs de jeunesse.
Si
les Églises (et pas seulement celle de Rome, dans la lancée de Vatica
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a singularité, la vocation d’une personne unique.
Si
les ordinateurs disent les règles et les normes, et si ces règles et
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s ordinateurs disent les règles et les normes, et
si
ces règles et ces normes sont toutes, par définition, générales ou gé
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de la personne à différer, le droit à l’hérésie,
si
c’en est une de croire que le but de l’homme transcende tout conditio
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f selon Jung, notamment, et c’est pourquoi il est
si
difficile de les modifier ; en revanche, quantité de préceptes moraux
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tions entre les hommes, ou même entre deux êtres,
si
frustes qu’ils soient. Reconnaître que les normes et prescriptions mo
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t, à la prison à vie ou à la peine de mort). Mais
si
la morale est considérée comme un système de normes conventionnelles
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ématique et scientifique. Ce qui rend cette tâche
si
difficile et ingrate, dans la plupart des cas, c’est la confusion dép
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a valeur en tant que personne. Il est entendu que
si
l’on fait une faute, si on touche la balle avec la main au football p
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sonne. Il est entendu que si l’on fait une faute,
si
on touche la balle avec la main au football par exemple, on doit être
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, on doit être pénalisé ou même disqualifié, mais
si
l’on suit les règles normalement, on n’est pas pour autant bon ou mau
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ais il y a un chemin par homme ! — comment savoir
si
je le découvre ou si je l’invente en le suivant ? Il n’est créé que p
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par homme ! — comment savoir si je le découvre ou
si
je l’invente en le suivant ? Il n’est créé que par l’appel, et n’exis
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? Il n’est créé que par l’appel, et n’existe que
si
je m’y engage, répondant à l’appel sans penser à rien d’autre. Il n’e
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ard. Un théologien dira (et je me le dis aussi) :
Si
vous abandonnez la responsabilité d’établir le code moral au « monde
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je me demande de quoi elles priveraient le monde
si
elles cessaient de lui prodiguer des conseils ou des ordres au moins