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igieuse. J’illustrerai le premier point par notre
situation
comme Suisses. Et le second, par notre situation comme chrétiens. ⁂ L
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situation comme Suisses. Et le second, par notre
situation
comme chrétiens. ⁂ L’exemple de la Suisse me tient à cœur à double ti
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tenue pour sérieuse. En voici la preuve. Quand la
situation
devient grave, comme en cas de guerre par exemple, tout le monde trou
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grande occasion de travailler. Voyons d’abord la
situation
de notre pays. « Au cœur de la révolution européenne, la Suisse est
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l. Contrairement à ce que beaucoup croient, cette
situation
n’est pas nouvelle dans notre histoire. Elle fut celle de nos grandes
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. Maintenant, je poserai cette question : dans la
situation
extrême que je viens de décrire, à supposer que la Suisse soit envahi
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actuelles, et qui sont seules à la hauteur de la
situation
présente. Ce ne sont jamais nos idées personnelles, nos commentaires
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i demande simplement d’appliquer à telle ou telle
situation
les paroles éternelles de l’Évangile et des prophètes : par exemple,
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vant vous. Je vous ai indiqué tout d’abord que la
situation
actuelle exige de nos Églises un grand effort vers la communauté viva
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sur le plan précis de la défense de l’Europe, la
situation
est différente. M. Churchill a parlé à Strasbourg de créer une armée
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e la vocation (1968)p q On a parfois décrit la
situation
présente du christianisme (protestant surtout) comme l’inverse de cel
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comme un nouveau renversement, annonciateur d’une
situation
de nouveau comparable à celle du siècle passé, mais radicalisée. D’un
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Mauriac, par exemple.) Les conséquences de cette
situation
— qu’il faut imaginer réalisées dans un avenir pas trop lointain (bea
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s mettaient en doute ces jugements — désormais la
situation
est inversée : l’Église n’est plus là pour prescrire aux hommes leur
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quarante ans. ⁂ Anticipant assez largement sur la
situation
que je viens de caractériser à grands traits, j’avais écrit dès 1945