1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 la violence par une violence du même ordre. Cette solution est la plus naturelle parce qu’elle n’est en somme qu’un réflexe. Ell
2 donnant l’exemple, dans nos pays, d’une meilleure solution de leur problème. Contre les excès agaçants de la propagande soviétiq
3 ore une fois. Ce que nous condamnons, ce sont des solutions et des doctrines au nom desquelles on veut réglementer le tout de l’h
4 le tout de l’homme, quand il s’agit en vérité des solutions et des doctrines d’un seul parti, d’une seule tendance, et la plus an
5 Il dépend en partie de nous que nous trouvions la solution de l’éternel problème individu-communauté. Il dépend en partie de nou
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
6 manité contemporaine exténuées par la misère. Les solutions totalitaires, malgré leurs manifestations brutales et le ton sur lequ
7 sur lequel on les prône, ne sont en fait que des solutions de paresse intellectuelle, des solutions de misère, fardées de rhétor
8 que des solutions de paresse intellectuelle, des solutions de misère, fardées de rhétorique héroïque. Le seul moyen de prévenir
9 bérale : c’est tout le problème à résoudre. La solution fédéraliste Par quelle voie ? Je n’aime pas beaucoup la tolérance,
10 la preuve est faite, attestée par le sang, que la solution suisse et fédérale est seule capable de fonder la paix, puisque l’aut
3 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
11 y faire face, personne n’a proposé une meilleure solution que l’union. « Les vrais intérêts de l’Europe entière », c’est donc t
4 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
12 . Cela sera vu et ressenti comme un refus de la «  solution définitive et universelle » proposée par la Science et imposée par la