1
ord grâce à la protection de la police. Mais cela
supposait
la complicité des ministères libéraux qui dirigeaient cette police. P
2
restaurer l’esprit de résistance civique. Et cela
suppose
que nous reprenions conscience de nos raisons de vivre dans la commun
3
rce qu’elle n’est en somme qu’un réflexe. Elle ne
suppose
aucun effort de l’esprit, aucune espèce d’imagination. Et c’est aussi
4
retenir, pour un petit pays comme le nôtre. Mais
supposez
que cette question soit résolue au mieux de nos possibilités de vie n
5
ous le cheval de Troie. La guerre totale en effet
suppose
l’unification totalitaire d’un pays. Ou sinon, c’est qu’elle est très
6
ré Nicolas Berdiaev. Ce n’est pas à la méchanceté
supposée
d’un Hitler ou d’un Staline que nous devons attribuer tout le mal, ma
7
rappelle aux « centralistes » que le bien de tous
suppose
le bien de chacun ; Nicolas témoin de la foi dans une époque où toute
8
omme soit foule. Le monde rationaliste et libéral
supposait
que l’humanité n’était qu’un assemblage d’individus, d’hommes qui ava
9
bsister ou à se former dans le monde moderne. Car
supposez
qu’un homme se sente une vocation et décide de la réaliser. Il se tro
10
ertu qui naît en somme d’un scepticisme, car elle
suppose
que la pensée de l’autre, qu’on tolère, ne passera jamais dans les ac
11
structure fédéraliste. Le fédéralisme, en effet,
suppose
des petits groupes et non des masses, et c’est seulement au sein d’un
12
tion peut s’exercer. D’autre part, le fédéralisme
suppose
des groupes diversifiés, et par là même il offre tous les avantages d
13
dat qu’à celui qui se déclare en faillite. L’aveu
suppose
un sens des valeurs spirituelles aussi précis que notre sens des chif
14
le, notre responsabilité devant l’Europe. Et cela
suppose
un dur effort contre nos goûts, nos sympathies et nos passions. Je ne
15
s la situation extrême que je viens de décrire, à
supposer
que la Suisse soit envahie, pourrions-nous penser à l’Église comme à
16
n théorie, de faire quelque chose dans ce sens, à
supposer
que les circonstances l’exigent un jour prochain. Je me demande si le
17
s et la portée de la liturgie véritable. Celle-ci
suppose
des formes fixes et invariables, connues de tous, et auxquelles tout
18
lle exclut en principe toute doctrine unitaire et
suppose
donc la connaissance très vivante d’une autre espèce d’union, sans ce
19
uisque le fédéralisme est une forme politique qui
suppose
l’équilibre vivant entre les droits de chaque région et ses devoirs e
20
devrait-elle adopter en face de l’Europe unie ? À
supposer
qu’une fédération européenne se réalisât prochainement, dans quelle m
21
n jugement global. Je me borne à relever ceci : à
supposer
que demain, ce soit un collège formé de généticiens, de psychologues,
22
er maintenant sur ce presque, car il est capital.
Supposez
, dans x années, une forme d’existence humaine suffisamment adaptée au
23
la sortie des circuits. Dans cette société que je
suppose
en parfait ordre de marche, il devient à peu près impossible, parce q