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sont là les vraies raisons de sa puissance. C’est
sur
ce terrain-là — non sur des champs de bataille hypothétiques — que no
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ns de sa puissance. C’est sur ce terrain-là — non
sur
des champs de bataille hypothétiques — que nous devons organiser nos
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vaient dans un village, par petits groupes montés
sur
des camions mettaient le feu à la bourse du travail, extorquaient la
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d on lit les travaux historiques les plus sérieux
sur
la naissance des trois grandes dictatures, on constate l’existence d’
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ersonnel évidemment, présenter quelques remarques
sur
la question des armements. J’y vois le piège le plus dangereux que no
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copier le voisin, un tel État ne peut pas compter
sur
l’aide d’autrui. Nous ne pouvons compter sur cette aide que dans la m
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pter sur l’aide d’autrui. Nous ne pouvons compter
sur
cette aide que dans la mesure où nous sommes pour l’Europe quelque ch
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des totalitaires c’est d’entraîner les démocrates
sur
un terrain où ils se renient eux-mêmes. Il est donc vital pour nous d
9
n divergence absolue ; en réalité, ils se battent
sur
la base d’un accord fondamental : la croyance à la validité de la vio
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e ne peut être chrétienne si elle ne se fonde pas
sur
la repentance, qui est une violence faite à notre orgueil. Reconnaiss
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e une société vivable, une commune mesure vivante
sur
le fondement de la personne, c’est-à-dire de l’individu à la fois lib
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t, que la charge du problème social est désormais
sur
nos épaules, et qu’ils feront mieux d’avoir peur de nous que du commu
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et même parfois des prophéties qu’on lui attribue
sur
la Réforme et ses « innovations ». Une suite de hasards m’ayant mis e
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ours de l’été dernier, quelques écrits populaires
sur
le Bienheureux, ce ne fut pas sans émerveillement que j’entrevis la r
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a nécessité d’une réforme. On l’avait fait monter
sur
le bûcher au mépris de la parole donnée. Il semblait que la chrétient
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de bon conseil, un solide paysan, les deux pieds
sur
la terre, et non pas un sectaire ou un illuminé auquel des ouvrages p
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on ? Celle des « frères mendiants » qui s’en vont
sur
les routes, au hasard, abandonnés au souffle de l’Esprit. Il fait par
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se révèle impossible, et les députés se séparent
sur
une menace de guerre civile entre cités et petits cantons. Mais voici
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? Il me paraît probable que l’autorité de Nicolas
sur
ses compatriotes suffit à calmer les esprits et à permettre une délib
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r historique. J’entends qu’il est très difficile,
sur
les documents qui nous restent, de nous faire une idée, et mieux : un
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nt comment il pourrait se rendre Dieu favorable.
Sur
quoi les critiques catholiques modernes reprochent à Luther d’avoir «
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la lecture des deux grands recueils de documents
sur
Nicolas que publiait, au lendemain de la guerre, Robert Dürrer, histo
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é, dans Dürrer, à peine les gros volumes ouverts,
sur
une abondance de citations de Luther, de Zwingli, de Vadian, de Bulli
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ci un aperçu rapide de cette littérature réformée
sur
Nicolas. Je la diviserai en trois rubriques. 1. Chroniques. — La pre
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in, et commentée par Myconius, Lucernois réformé,
sur
la demande de Zwingli et de Vadian. C’est encore un ami de Vadian, He
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nne la première biographie importante de Nicolas,
sur
le ton le plus enthousiaste. Il est suivi en 1546 par Stumpff, protes
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ngli cite l’exemple du Frère Claus dans un sermon
sur
le Bon berger et les mauvais bergers. Puis en 1524, il rappelle les c
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ns réformés se rendit en pèlerinage au Ranft et «
sur
les lieux consacrés par le souvenir du Frère Claus ». Quant à la peti
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lle auff unsserm myst bleiben » (Que chacun reste
sur
son fumier !). Vous feriez mieux de le croire et de ne point innover,
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y aurait lieu de citer enfin le libelle de Luther
sur
la « vision des épées », que Nicolas avait fait peindre au mur de sa
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Le fait même que nous éprouvions tous un doute
sur
l’opportunité d’une conférence en temps de guerre, ce fait est signif
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ouronner. Et le chimiste pacifique verra retomber
sur
sa tête, sous la forme d’une bombe de 1000 kg son invention humanitai
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pensée à notre action. L’impuissance de la pensée
sur
la conduite générale des affaires, tel est le dogme fondamental de la
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nes a brusquement accru nos possibilités d’action
sur
la matière. L’industrie et le commerce ont provoqué la brusque créati
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ls ont opposé des milliers de pages de rhétorique
sur
le Progrès. Merveilleuse doctrine que celle-là ! Car en somme elle ju
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re esprit est trop distingué et délicat pour agir
sur
ces faits ; secundo : le Progrès automatique arrangera tout. C’est lu
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ents, les hommes d’une même société s’entendaient
sur
le sens de certains mots fondamentaux que j’appellerai les lieux comm
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ntaux que j’appellerai les lieux communs. C’était
sur
la base de ces mots définis une fois pour toutes que les échanges d’i
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es vingt-neuf sens, nous en avons ajouté d’autres
sur
lesquels plus personne ne s’entend. Tout le monde veut défendre l’esp
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écrire ses remèdes, mais surtout pour les essayer
sur
nous d’abord. À la recherche de l’homme réel … Sur quel princip
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s d’abord. À la recherche de l’homme réel …
Sur
quel principe pourrions-nous rebâtir un monde qui soit vraiment à hau
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homme dans leurs calculs, ou bien se sont trompés
sur
sa nature. Ils ont perdu de vue sa définition même. Leur point de dép
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tes. Or la communauté des hommes se fonde d’abord
sur
des relations charnelles et concrètes. C’est pourquoi l’individualism
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ille de la culture moderne, par l’esprit créateur
sur
l’esprit fataliste. Ce qui paralysait les intellectuels qui sentaient
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les intellectuels qui sentaient le besoin d’agir
sur
les destins de la cité, c’était, depuis Hegel, Auguste Comte, et Marx
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ster selon sa vocation particulière. Si j’insiste
sur
cet axiome, c’est qu’il est particulièrement libérateur pour la pensé
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s, malgré leurs manifestations brutales et le ton
sur
lequel on les prône, ne sont en fait que des solutions de paresse int
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s aussi, se détourner de toute action régulatrice
sur
la cité. Elles ont assisté sans mot dire à l’essor du capitalisme et
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ordres de la pensée et de l’action. J’ai insisté
sur
le rôle des Églises parce qu’elles sont le type même des groupes au s
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la rend sérieuse. Refaire un monde et une culture
sur
la base de la diversité des personnes et des vocations, — c’est aujou
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— et je termine là-dessus — qu’elle ne repose pas
sur
une erreur profonde quant aux pouvoirs de l’homme et à ses fins terre
52
e fédéralisée, nous ne demanderons pas un paradis
sur
terre. Nous demanderons simplement un monde humain. Non pas un monde
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sera toujours ouverte, tant qu’il y aura du péché
sur
la terre. Non, l’heure n’est pas au facile optimisme, dans une Europe
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par tempérament. Leurs propos ne renseignent pas
sur
l’état des faits dans le monde, mais seulement sur l’état de leurs ne
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ur l’état des faits dans le monde, mais seulement
sur
l’état de leurs nerfs. Sans intérêt. Ce qu’il nous faut à l’heure que
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la prédiction des maux à venir — ceux qui fondent
sur
nous aujourd’hui. Quoi de commun entre un Burckhardt, un Kierkegaard,
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précise du châtiment qui s’abattra nécessairement
sur
l’Occident, si celui-ci persiste à ne prendre au sérieux que les vale
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enfin d’une allusion aux prophéties de Burckhardt
sur
les « terribles simplificateurs », qui viendront imposer à l’Europe d
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eux des « réalistes » de l’économie : prélèvement
sur
le capital ou caisse de compensation, — et je ne prends là que de pet
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ises ces millions de femmes et d’enfants en fuite
sur
les routes de France ? Nous n’avons plus qu’un seul espoir — quelle q
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tager » autre chose que des impressions générales
sur
le temps et les tristes événements ? Sont-ils vraiment des frères — e
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l’Église. Je me contenterai de quelques remarques
sur
les rapports de l’Église et de la Suisse, en tant qu’État. D’abord ce
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la réalité de l’Église, corps du Christ. Ensuite,
sur
les rapports de l’Église et de l’État, je vous proposerai deux formul
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tat fédéral ne saurait se fonder concrètement que
sur
des bases chrétiennes de tolérance et d’amour du prochain. Mais je ti
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qu’on appelle le ton de la chaire et qui produit
sur
l’auditeur occasionnel de nos sermons une impression fâcheuse de démo
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ne maison de Dieu. Ce que je voudrais dire encore
sur
ce sujet est peut-être un peu délicat. C’est une requête que je prése
67
parlerait-elle pas de politique, si elle le fait
sur
la seule base de la Bible ? On ne lui demande pas une théorie origina
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exceptionnellement bon, risque bien de la laisser
sur
sa faim. En sortant de là, elle ne saura pas exactement ce que nous c
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t qui libèrent des fausses pudeurs. Pour en finir
sur
ce sujet, je vous demanderai de vous poser à vous-même cette seule qu
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fait-il que nos Églises suisses soient les seules
sur
le continent qui croient pouvoir s’en passer, sans dommage ? L’absenc
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ements… 9. Je n’entends pas prendre position ici
sur
des problèmes tels que les prestations financières de l’État à l’Égli
72
e des nationalistes cantonaux. Ceux qui insistent
sur
la nécessité de l’union centrale auraient peut-être plus de droits à
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matériellement parlant. Quant aux effets moraux,
sur
notre peuple, de ce tour de force prolongé, ils sont hélas plus discu
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ion, je me contenterai ce soir d’un rapide aperçu
sur
l’histoire de notre neutralité, car je soupçonne qu’elle n’est pas bi
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ticentes comme autant de contributions à l’unité.
Sur
ce plan général, il semble difficile de soutenir que la neutralité re
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ême de nos institutions. Je me promets de revenir
sur
ce point capital, que personne encore n’a touché, tout au moins à ma
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ve erreur liminaire ». J’ai naturellement insisté
sur
« l’intérêt de l’Europe entière » parce que c’était par ce biais-là q
78
ncipale. Au surplus, je souhaitais une discussion
sur
la neutralité présente et à venir de la Suisse, les circonstances aya
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Finalement, quelle est la position de M. Lasserre
sur
le fond du problème, tel qu’il est défini par les points IV et V de v
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la Suisse dans la construction de l’Europe. C’est
sur
ce point qu’il eût été intéressant d’entendre l’historien respecté de
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rre publiée comme réponse à l’enquête des Cahiers
sur
« La Suisse et l’Europe ». o. Voir la première note du texte « Europ
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it-on, la théologie a été solidement reconstruite
sur
les bases de la dogmatique des Pères et des réformateurs ou de Thomas
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s. Recettes, régimes, remèdes, relaxation, action
sur
l’équilibre hormonal, conditionnement des réflexes devant la machine,
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contraint. En regard de ce progrès de la Science
sur
tous les fronts, moralisme et immoralisme, vertus et vices apparaisse
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les verra peut-être alors, ces sages, se lamenter
sur
la fuite du bon vieux temps qu’auront été les siècles de luttes passi
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ombreuses et diverses pour que l’on puisse porter
sur
elles un jugement global. Je me borne à relever ceci : à supposer que
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leur nocivité aux théories imbéciles et navrantes
sur
la sexualité (comme celle du trop fameux Dr Tissot) qui ont joué le r
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e tous les égards. Je dois m’expliquer maintenant
sur
ce presque, car il est capital. Supposez, dans x années, une forme d’
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lors sans réponse : la question du sens de ma vie
sur
cette terre et après ma mort ; la question de ma relation à la transc
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Ta parole est une lampe à mes pieds, une lumière
sur
mon sentier »… Je résume mon diagnostic, qui est aussi un pronostic :
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us les quarante ans. ⁂ Anticipant assez largement
sur
la situation que je viens de caractériser à grands traits, j’avais éc
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petit disque noir à trois-cents mètres qui danse
sur
la ligne de mire. Quand vous serez assez concentré, sans que vous l’a
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ne des champions de l’école de tir, et l’arborais
sur
la manche droite de ma tunique. Quant aux conséquences plus lointaine
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u zen fait grand usage du Tir et de la méditation
sur
cet art. Il s’agit du tir à l’arc. Le tireur zen doit arriver à s’ide
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effet, déplacer un bout de bois d’un carré blanc
sur
un carré noir est le type même du geste insignifiant en soi ; mais ce
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; mais ce même petit déplacement devient un acte
sur
lequel les meilleurs cerveaux peuvent se concentrer avec passion pend
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loi mosaïque et de son sommaire, le commandement
sur
l’amour de Dieu et du prochain comme de soi-même. Or l’amour est une
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iétaires du type patriarcal, et qui met notamment
sur
le même plan d’objets (dont il faut préserver la possession) esclaves
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our le succès de telle équipe nationale de tueurs
sur
telle autre. Je ne rappelle pas ces choses par masochisme ou par une
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mmises par un joueur n’entraînent pas de jugement
sur
sa valeur en tant que personne. Il est entendu que si l’on fait une f
101
oupe d’élus, je rappellerais les paroles de Jésus
sur
le sel de la Terre et sa saveur. Mais j’ajouterais, paraphrasant Teil