1 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
1 langage personnel de Monsieur X, pasteur ou même théologien célèbre, — mais qu’elle parle uniquement et simplement le langage de
2 répète. Ce n’est pas un docteur de l’Église ! Les théologiens élèveront peut-être de fortes objections contre ce que je vais dire.
3 ement le problème de la liturgie, tant à nos bons théologiens qu’aux laïques, généralement ignorants de cette question, ou retenus
2 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
4 e de grand-papa » est encore plus mal vu chez les théologiens rigoureux que chez les jeunes gens en colère. De cette morale que l’o
5 t répété bien avant moi Luther et Kierkegaard. Un théologien dira (et je me le dis aussi) : Si vous abandonnez la responsabilité d
6 alisées, et les écoles qui les divisent. Un autre théologien me reprochera (et je ne suis pas du tout sûr qu’il ait tort) d’ouvrir
7 du positivisme et de l’illuminisme ? Un troisième théologien , prenant acte de ce que je ne crois pas du tout à une morale révélée,