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de fédérer l’Europe est vouée, dès le départ, à l’
échec
. Sur quoi d’autres ajoutent, d’un ton excité, que la fédération europ
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que l’attitude britannique, pour le moment, fait
échec
à certains progrès rapides et décisifs qui, sans elle, pouvaient être
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efforts du Mouvement européen aboutissaient à un
échec
total. Une commission d’experts de dix-huit membres, nommés par les g
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ce point de vue. Nous avons assisté, en 1949, à l’
échec
de l’OECE, c’est-à-dire de l’Organisation économique de l’Europe dans
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pe dans le cadre du plan Marshall. D’où vient cet
échec
? Il a pour cause l’illusion générale que l’économie vient d’abord, v
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pération européenne, l’OECE, a dû reconnaître son
échec
, par la voix même de son secrétaire général, M. Marjolin. Personne ne
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s avoir raté le moins, et comme pour masquer leur
échec
? Faut-il répéter avec beaucoup que l’étape européenne est dépassée ?
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tenté d’y répondre par un acte. Le récit de leur
échec
est significatif, vous allez le voir. L’idée qui animait ce groupe de
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C’est ainsi que la session d’été prit fin sur un
échec
des activistes. Et certes, la manœuvre anglaise, ou plus exactement :
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exactement : travailliste, joua son rôle dans cet
échec
. Mais il est juste de dire qu’elle ne l’eût pas joué, si les continen
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l’enterre. C’est donc en pleine conscience de cet
échec
flagrant que va s’ouvrir, dans quelques jours, la seconde partie de l
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ire. Dresser le bilan de 1950, c’est énumérer des
échecs
. Parler de l’espoir qui nous reste, c’est fixer un programme d’action
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ors, ce fameux plan Marshall serait un formidable
échec
. Car l’un de ses résultats les plus frappants, c’est qu’il a permis à