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ains extraits ont été publiés en revues à la même
époque
: par exemple, « Pourquoi l’Europe » (25 décembre 1948) ou « Commence
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e vents et marées, contre tous les experts de son
époque
, il se mit en route pour la joindre, et c’est ainsi qu’il trouva l’Am
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s cantons étaient certainement aussi grandes, à l’
époque
, que ne sont aujourd’hui les différences entre les États de l’Europe.
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ons vu que nos 22 cantons, tout aussi divisés à l’
époque
que ne le sont aujourd’hui nos 24 nations, se sont tout de même fédér
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on. Bien peu croyaient la chose possible, à cette
époque
. On constatait seulement qu’elle était nécessaire. Et voici qu’elle s
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Europe, sur la pointe de ses baïonnettes. À cette
époque
, toutefois, on se bornait encore à faire la guerre aux militaires et
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rivée. Rien de plus naturel, après tout, dans une
époque
qui essaye d’être démocratique, c’est-à-dire de tenir compte de l’opi
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ue ; rien de plus naturel, hélas, aussi, dans une
époque
d’affaiblissement de la pensée personnelle, où chacun cherche à savoi
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culturel le plus urgent, le plus concret de notre
époque
. C’est à ce réveil de l’opinion que ma chronique essaye de contribuer
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toujours eu, dans les gouvernements, à toutes les
époques
de l’histoire. Ce qui est nouveau, c’est le rôle qu’on leur fait joue
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des chefs socialistes les plus influents de notre
époque
me disait quelques jours auparavant : « Que serait cette Europe fédér