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e est simple : nous ne pouvons rien faire, dans l’
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de division où nous sommes. Il faut donc nous unir pour nous mettre e
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dire qu’ils tâcheraient de nous maintenir dans un
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de division, donc de faiblesse, pour mieux s’emparer de nos pays un à
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ns de paix intérieure, politique et sociale, et l’
état
de prospérité de plus en plus démocratique que l’étranger admire chez
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en quelques mois. Si nous comparons maintenant l’
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économique de nos cantons avant qu’ils se soient fédérés et l’état de
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e nos cantons avant qu’ils se soient fédérés et l’
état
de notre Europe divisée, nous allons constater des ressemblances peut
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Voici encore une comparaison très précise entre l’
état
de la Suisse avant 1848 et l’état de l’Europe d’aujourd’hui. Un comme
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précise entre l’état de la Suisse avant 1848 et l’
état
de l’Europe d’aujourd’hui. Un commerçant de Saint-Gall qui voulait ve
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faire en deux ans ? Passons rapidement en revue l’
état
de nos forces fédéralistes dans les nations de l’Europe libre. Nous y
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tes, que par la constatation claire et nette de l’
état
d’impuissance et de crise où les mettaient leurs divisions économique
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fédéral et à voter notre constitution, c’était l’
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scandaleux d’impuissance où nous mettait la souveraineté jalouse de 2
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t que l’Europe ne saurait être défendue, dans son
état
présent de désunion, que par la force américaine. Ils constatent égal
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n professeur américain, chargé de s’informer de l’
état
de l’Europe, et des efforts en cours pour unir nos pays. Avec un méla
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ivée de ces moyens, elle sera bientôt réduite à l’
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de colonie décadente. Si elle les a, son indépendance est assurée. No
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pendant que la Russie observait d’un œil froid l’
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des forces en présence, qu’a-t-on fait en Europe, à Strasbourg, cet é
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s soient décidés à employer ces armes. Or, dans l’
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politique et social où sont plusieurs de nos voisins, rien n’est moin
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nir effectivement en temps utile, avant que notre
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de division n’ait provoqué la guerre, qui nous mettra tous d’accord d
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, qui nous laisseraient, une fois déçues, dans un
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de fatalisme irrémédiable. Il y aura toujours de l’espoir pour ceux q
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Et c’est pourquoi je continue à vous parler de l’
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du problème européen, qui est un aspect du problème de la paix. Cela
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nt besoin pour faire supporter à leurs peuples un
état
de misère générale. Ce que nous avons vaut bien qu’on le défende, qua