1 e (dont l’embryon existe à Genève) et la mise à l’ étude immédiate d’un passeport européen. Ce ne sont là que des vœux, direz-

2 es 13 ministres, soit renvoyées pour supplément d’ études à divers organismes plus ou moins somnolents, ou mal disposés. En par

3 ès de Lausanne avait été organisé par le Bureau d’ études dont je m’occupe à Genève. Quelle illusion ! La vérité, c’est que Pie

4 n ou sa révocation. Ils devront interrompre leurs études ou leur carrière professionnelle. Ils recevront en principe de l’orga

5 iller, convaincre. Il ne s’agit plus de groupes d’ études , de discussions intéressantes, de comités ou de manifestes. Il s’agit

6 eur générosité ? Deux ans d’interruption dans vos études ou votre carrière, est-ce vraiment plus que vous ne pouvez donner ? T

7 , ils ont quitté leurs familles, interrompu leurs études ou leur carrière, accepté tous les risques d’une entreprise incertain

8 uropéen, en le renvoyant à des sous-commissions d’ étude , d’approches, et de consultation indéfiniment préalables. On sait que

9 projet dont la mise au point a demandé deux ans d’ études , de négociations difficiles et d’expériences préalables. Aujourd’hui,

10 écisé le programme. Pendant ce temps, un Bureau d’ études fondé par le Mouvement européen travaillait en silence à Genève, dres

11 nstituts qui se consacrent, dans divers pays, à l’ étude et à l’enseignement des grandes questions européennes ; enfin, au coi

12 rencontre, préparée par beaucoup de contacts et d’ études , a conduit à des résultats entièrement positifs et concrets. Le fait

13 haine, sur les plans mis au point par un bureau d’ études , qui travaillera dès demain à Paris. En outre, pour former les théori