1 s ? Et s’il en abuse, comment voulez-vous qu’on l’ arrête  ? C’est lui qui vous arrête et qui vous fait avouer, vous la victime,

2 t voulez-vous qu’on l’arrête ? C’est lui qui vous arrête et qui vous fait avouer, vous la victime, que vous êtes un criminel :

3 uvrir notre voix pendant quelques semaines : il n’ arrêtera pas notre action. Il nous dit au contraire : « Hâtez-vous ! car vous

4 rce que l’Europe unie sera seule assez forte pour arrêter la guerre et défendre nos libertés ! Voici encore mes prévisions du t

5 i serez ruinés, fouillés par la police politique, arrêtés sans savoir pourquoi, et jetés dans les camps de concentration… De to

6 qui nous reste : 1° d’échapper à la guerre ; 2° d’ arrêter les Russes ; 3° de sauver notre économie, sans nous laisser coloniser

7 e mouvement est en marche, et plus rien ne peut l’ arrêter . Nous aurons certainement le Conseil de l’Europe, et l’Assemblée cons

8 ndres ont bien vu cela, ils ne se laisseront plus arrêter par les chicanes techniques et les experts. Tout dépend de la vision

9 dre qu’elle ne comptait pas un instant se laisser arrêter ou intimider par les vetos des 13 ministres. C’est donc à une épreuve

10 ne sont pas les déclarations de nos juristes qui arrêteront les chars et les avions, remarquent-ils avec la sombre vanité du réal

11 rsonne ne peut dire où elle commence et où elle s’ arrête à la fois dans l’espace et dans le temps. Comme la Grèce, elle n’est

12 es sont hélas plus travaillistes qu’intelligents… Arrêtée par un alinéa, l’Assemblée décida de ne rien faire de sérieux, c’est-

13 ondu oui, 8 % non, le reste n’avait pas d’opinion arrêtée sur le sujet. Mais ce n’était là qu’une première approche. Il était b

14 u cercle, et cela sans crainte d’être inquiété ou arrêté , tant que l’on vit dans une démocratie… tout court. Mais ces propos n

15 2 mars 1951) Chers auditeurs, Eh bien oui, je m’ arrête . Tout a une fin. Pendant deux ans, je vous ai parlé à ce micro près d