1 ur dit : « Faire l’Europe ». Ils pensaient à tout autre chose , à leur métier, à leurs amours, à leur santé, ou seulement à leur sol

2 ions, de tout ce qui a fait du continent européen autre chose qu’un « cap de l’Asie » — ce qu’il est physiquement, matériellement,

3 , qui nous a tirés du chaos. Un verbe, et non pas autre chose . Après tout, qu’est-ce qu’on nomme une parlotte ? C’est un échange de

4 jeunes gens de France. Elle m’a ému plus que tout autre chose que j’aie pu lire depuis longtemps. Je voudrais vous la lire tout ent

5 plus poliment, de réfléchir encore ou de parler d’ autre chose . On leur dit comme à vous, chers auditeurs : au revoir, à lundi proch

6 nt l’Histoire. S’il y échoue, eh bien nous ferons autre chose , — comptez sur nous ! Au revoir, chers auditeurs, à lundi prochain.

7 t se demande si l’union de l’Europe ne serait pas autre chose qu’une « idée généreuse » — ne serait point, par hasard, le problème

8 sommes actuellement séparés de nos Américains par autre chose encore que par ces différences authentiques et valables. Nous sommes

9 est la culture qui a fait de notre péninsule tout autre chose que ce qu’elle paraît physiquement. Sans la culture, nous n’aurions n

10 ue prouvent les chiffres. Mais ils prouvent aussi autre chose . Vous savez qu’à Strasbourg, les travaillistes anglais, par la voix d

11 puissances du continent. Il s’agit aujourd’hui d’ autre chose . L’idée d’une guerre prochaine entre pays européens n’empêche personn

12 iner. 2. Il lui reste un an pour décider de faire autre chose , et pour le faire. Dresser le bilan de 1950, c’est énumérer des échec