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me tendance : celle des fédéralistes atlantiques.
Ceux-ci
estiment, à tort ou à raison, que l’Europe est déjà trop petite pour
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es révolutionnaires, de la part des fédéralistes.
Ceux-ci
ne représentent, à vrai dire, qu’une minorité de l’Assemblée. Mais il
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e la communauté, c’est la thèse des fédéralistes.
Ceux-ci
ne sont encore, dans l’Assemblée, qu’une minorité certes très remuant
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efforts ne passionnent pas beaucoup les lecteurs.
Ceux-ci
ne lisant pas de nouvelles sur l’Assemblée, se persuadent qu’on n’y f