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r savent que se tient à Londres, ces jours-ci, la
conférence
des 10 pays qui seront les membres fondateurs de l’union européenne.
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s, brouillard persistant autour des travaux de la
conférence
des Dix. En Europe, le courant d’air glacial venu de l’Est provoquera
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le se fera. Peut-être n’est-il pas mauvais que la
conférence
des 10 ambassadeurs, à Londres, prenne son temps. Il y a deux semaine
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nir, sous les auspices du Mouvement européen, une
Conférence
européenne de la culture. Je vous dirai, lundi prochain, comment cett
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Demain l’Europe ! — La
Conférence
européenne de la culture (5 décembre 1949) Chers auditeurs, Dans tr
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teurs, Dans trois jours, à Lausanne, s’ouvrira la
Conférence
européenne de la culture. Ce n’est pas un congrès de plus. C’est une
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nous avons convoqué, au mois d’avril dernier, une
Conférence
d’experts à Londres. Dans le domaine social, nous préparons avec les
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st à Lausanne que nous avons choisi de réunir une
conférence
qui doit donner aux intellectuels de 20 pays le signal de la lutte po
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hers auditeurs, ce que nous devons attendre de la
conférence
de Lausanne. Il y aura des discours, bien sûr : M. Etter, Conseiller
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jourd’hui, je voudrais évoquer, à propos de notre
conférence
, un problème beaucoup plus général et plus directement humain : celui
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ion de plusieurs pays, et tout d’abord dans notre
conférence
. M. Spaak s’est élevé avec vivacité contre le défaitisme de l’écrivai
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t décidé de la sauver malgré tout. Au terme de la
conférence
, un journaliste lui ayant demandé s’il pensait encore que le congrès
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e cite) : « Bien au contraire, je crois que cette
conférence
ne peut manquer d’avoir une portée considérable. » Mais pour un pessi
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hrase admirable que prononçait en clôturant notre
conférence
de Lausanne son président, Salvador de Madariaga : — Si l’Europe doit
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50) Chers auditeurs, À l’occasion de la récente
Conférence
européenne de la culture, un groupe d’étudiants de Lausanne a pris un
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ait participer, sous une forme ou une autre, à la
conférence
culturelle. Mais comment faire ? Le nombre des délégués était stricte
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viron, en peu de jours, ont été communiquées à la
conférence
, au cours de sa dernière séance plénière. Quelles étaient les questio
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l’utilité de l’Assemblée de Strasbourg, ou de la
conférence
de Lausanne, et enfin s’ils avaient eu connaissance jusqu’ici de l’ac
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environ croit à l’utilité de Strasbourg et de la
conférence
de Lausanne, mais qu’une très grande majorité demande surtout à être
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sumer en quelques lignes les travaux d’une longue
conférence
de 5 jours et 4 nuits, et souvent l’essentiel se perd, un détail pitt
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ue les autres pensent ; je le citerai donc : « La
Conférence
européenne de la culture — affirment-ils sans sourciller — est faite
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grès, qui parut à Londres. D’ailleurs, la récente
conférence
des dominions, à Colombo, a réduit à néant ce prétexte : à Colombo, l
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l’Assemblée de Strasbourg, l’an dernier. Enfin la
conférence
de Lausanne, il y a quelques mois, en avait précisé le programme. Pen
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essement rapide et décisif. Il y a un an déjà, la
Conférence
européenne de la culture, réunie à Lausanne, s’en était occupée sur l
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tombèrent, lorsqu’à Florence, au mois de juin, la
conférence
de l’Unesco adopta un plan similaire en tous points à celui de Lausan