1
e d’État européen, le réaliste qu’il fallait pour
défendre
notre idéal. Vous allez entendre, dans quelques instants, en quels te
2
d, considérant la malice des temps, et afin de se
défendre
et maintenir avec plus d’efficace, ont pris de bonne foi l’engagement
3
autre de venir à son aide en cas de besoin, de la
défendre
à ses propres frais… et de venger sa querelle, prêtant un serment san
4
sera seule assez forte pour arrêter la guerre et
défendre
nos libertés ! Voici encore mes prévisions du temps valables jusqu’à
5
la Suisse à ne faire la guerre à personne, mais à
défendre
d’un seul cœur son indépendance reconquise. Cette Europe inventant la
6
uis. Chaque ministre, nommé par son gouvernement,
défendra
les droits de son État, et nous ne dépasserons pas le stade de la Lig
7
. Elles obligèrent la Suisse à rester neutre et à
défendre
sa neutralité, et cela, parce qu’il était vital, pour l’équilibre eur
8
sines. Il est clair que la Suisse n’aurait pas pu
défendre
et garder libres les cols des Alpes, si elle avait cessé d’être neutr
9
cantons souverains s’était révélée impuissante à
défendre
la paix du pays, que les Suisses décidèrent il y a cent ans de créer
10
inetés absolues que nos cantons ne pouvaient plus
défendre
, et qu’aucun de nos pays européens ne pourrait aujourd’hui défendre s
11
cun de nos pays européens ne pourrait aujourd’hui
défendre
sérieusement. Et cette comparaison paraissait rassurante, puisque nou
12
esse de la Planète, l’Europe se voit réduite à se
défendre
pour assurer sa survivance économique et son indépendance politique.
13
core, la neutralité, que nous sommes tous prêts à
défendre
, nous fait un devoir de paraître à Strasbourg, et d’y affirmer notre
14
r, mais qu’elle y aille avec l’intention nette de
défendre
devant l’Assemblée l’idée de la neutralité européenne. Personne ne pe
15
er les égoïsmes, les intérêts et les routines que
défendent
les experts économiques, toujours prêts à prouver qu’on ne peut rien
16
do, une Europe fédérée sera seule en mesure de se
défendre
, c’est-à-dire de créer une force armée puissante. Nos petites armées
17
exactement le même point de vue que j’ai toujours
défendu
dans cette chronique. C’est d’abord un journal italien, la Gazzetta d
18
tte ? Ils constatent que l’Europe ne saurait être
défendue
, dans son état présent de désunion, que par la force américaine. Ils
19
era trop faible ; et seuls, ils ne peuvent pas se
défendre
. Une fois de plus, nous voyons que la clé du problème, c’est de fédér
20
ns des valeurs humaines que ce plan est chargé de
défendre
contre l’immense poussée de la masse orientale. L’enjeu de ce conflit
21
l’invasion yankee, contre laquelle nous aurions à
défendre
les antiques vertus de la race, la santé de nos enfants et l’intégrit
22
de cela, les autres en ont plus que nous. Vouloir
défendre
notre vieille Europe, il faut bien voir que c’est défendre tout d’abo
23
notre vieille Europe, il faut bien voir que c’est
défendre
tout d’abord les deux plus grandes conquêtes de sa culture : l’idée d
24
aix. Deuxièmement, il est clair qu’on ne peut pas
défendre
l’Europe avec dix-neuf petites armées nationales, à la fois ruineuses
25
D’où l’on déduit nécessairement qu’il faut, pour
défendre
l’Europe, non pas dix-neuf armées nocives et faibles, mais une armée
26
on profonde et passionnée qu’il a quelque chose à
défendre
. On n’accepte de mourir que pour des raisons de vivre. Le réalisme vé
27
dans les camps, qu’elles valaient bien qu’on les
défende
. Et la démocratie n’est pas une panacée, elle ne résout aucun de nos
28
ssi à maintenir une position indépendante et à la
défendre
s’il le faut, les autres grands y regarderont à deux fois avant de dé
29
ppuyer l’Amérique en cas de guerre, ou même de se
défendre
contre l’Est. Or, je me vois obligé d’avouer mon désaccord avec les u
30
e qui soit matériellement et moralement prêt à se
défendre
en cas d’attaque, demain. Je sais très bien que la seule mention de l
31
qu’un seul coin de l’Europe qui soit sérieusement
défendu
, et le fait est, paradoxal, mais évident, que ce petit coin, c’est la
32
r ! » Dix minutes plus tard, le même Comte Sforza
défendait
devant l’Assemblée le point de vue du Comité des ministres qu’il prés
33
is de l’Europe. Un important barrage de police en
défendait
l’entrée. La foule s’impatientait. Prévenant avec sagesse, et non san
34
ion, de ne plus tenir compte des frontières et de
défendre
désormais l’Europe, mais seulement comme une patrie commune. Puis ils
35
de l’opinion est sans doute celle que nous devons
défendre
avec le plus de vigilance. Avec elle naît la démocratie. Là où elle m
36
our chaque pays, et celui d’être insuffisant pour
défendre
vraiment l’Europe, c’est-à-dire en fin de compte, chacun de ses pays.
37
es, si possible. Quand l’Amérique propose de nous
défendre
, une partie de l’opinion hurle à l’impérialisme. Quand l’Amérique fai
38
ment l’Europe peut se faire pratiquement, peut se
défendre
, peut redevenir une grande puissance. Nous sommes 250 millions d’homm
39
vivons, est devenue indéfendable ! On ne peut pas
défendre
du passé contre le grand espoir qui se lève à l’Orient ! » J’entends
40
uels qui réclament une mystique nouvelle avant de
défendre
l’Europe. Quand on me dit qu’il est impossible de défendre l’Europe t
41
l’Europe. Quand on me dit qu’il est impossible de
défendre
l’Europe telle qu’elle est, avec ses injustices sociales, devant le g
42
s dire encore que notre Europe ne vaut pas d’être
défendue
, lorsque malgré toutes ses imperfections, ses injustices, ses divisio
43
re générale. Ce que nous avons vaut bien qu’on le
défende
, quand on le compare à ce qu’on nous offre. Non, ce n’est pas d’une m
44
vieille Europe fatiguée, ne mérite plus qu’on la
défende
. L’Europe, c’est du passé. L’avenir est… ailleurs, dans quelque grand
45
sent que l’Europe actuelle ne mérite pas qu’on la
défende
, ce sont ou bien des gens qui ont perdu la conscience des libertés ré
46
outes vos forces qu’elles méritent bien qu’on les
défende
. Essayons donc de nous imaginer ce qui se passerait dans nos vies quo
47
e concentration ou de rééducation. Et je n’ai pas
défendu
nos libertés parce que je les tenais pour parfaites. Elles ne le sont
48
bases. Et beaucoup d’auditeurs m’invitèrent à me
défendre
. Mais devant de micro, je dois me limiter à cette très simple mise au
49
rique. Messages de sympathie pour la cause que je
défends
, qui n’est pas une cause politique au sens étroit du mot, qui n’est p