1
on personnelle de citoyens européens. Et là, nous
dépassons
enfin le stade des intérêts nationalistes. Les débats de l’Assemblée
2
it très bien, il y a cent ans, que ces absurdités
dépassaient
toute mesure, et tout le monde le voit de nos jours. Cependant, les É
3
s nous ne pouvons rien. En un mot, tout cela nous
dépasse
, et nos bonnes volontés ne trouvent pas le moyen d’entrer dans cette
4
ur une action réelle, qui a déjà démarré et qui a
dépassé
le stade des utopies, qui s’est forgé, à Strasbourg, un instrument dé
5
de 19 pays européens, un discours dont la portée
dépasse
largement celle du bla-bla-bla gouvernemental auquel nous étions habi
6
a non point au nom du pacifisme, le pacifisme est
dépassé
, il a perdu beaucoup de son sens, depuis que la guerre elle-même n’en
7
Europe seule. L’étape européenne, disent-ils, est
dépassée
. Moi, je veux bien, je ne m’opposerai jamais à l’élargissement de not
8
osera dire qu’à cet égard, l’étape européenne est
dépassée
: elle est l’étape de la restauration d’une civilisation, et par elle
9
république européenne. Il s’agit à Strasbourg de
dépasser
le stade des points d’honneur nationalistes. Mettre comme condition à
10
aux de prétendre que « le stade de l’Europe » est
dépassé
. C’est l’Europe qui, dans le monde occidental, représente le foyer vi
11
répéter avec beaucoup que l’étape européenne est
dépassée
? Et faut-il enfin que je change le titre même de ma chronique ? Je p
12
que la mauvaise volonté des dirigeants européens
dépasse
encore tout ce que l’on pouvait craindre. Tous nous parlent d’union,
13
totalitaires, le seul souci réel, c’est de ne pas
dépasser
100 %, par suite d’un excès de zèle des fonctionnaires locaux. C’étai
14
me disais, en les écoutant : nous avons vraiment
dépassé
l’étape de la Société des Nations. Les hommes politiques et les écono
15
directement. Elle ne fera de mal à personne, elle
dépasse
les querelles de partis, elle est une raison d’espérer, une œuvre con