1 undi prochain : temps favorable pour l’action des fédéralistes . À Bruxelles, vendredi prochain, une nouvelle étape vers l’union sera

2 quatre pour les petits, conformément à la coutume fédéraliste . Ces délégués de 22 peuples, auxquels s’ajoute le comité exécutif, vi

3 n’est pas sans une joie profonde que, nous autres fédéralistes , voyons nos thèses progresser de jour en jour au sein du Conseil de B

4 usqu’à lundi prochain : la zone de haute pression fédéraliste dont le centre se situe actuellement à Bruxelles va s’étendre rapidem

5 l’URSS. Qu’avons-nous à répondre à cela, nous les fédéralistes  ? Nous avons à répondre deux choses : 1. La fédération de l’Europe pe

6 l est un point, nous a-t-il dit, sur lequel, vous fédéralistes , vous ne devrez jamais transiger. De toutes vos forces, sans compromi

7 ique et l’union européenne ? Et qu’en pensent les fédéralistes  ? Je ne puis pas me dérober à cette question brûlante, bien que je n’

8 d’ailleurs être celle de la plupart des militants fédéralistes et de leurs chefs. Tout d’abord, qu’est-ce au juste, le pacte de l’At

9 i se trouve être aujourd’hui le plus ancien pacte fédéraliste , le seul qui n’ait jamais été violé ou dénoncé. Il me semble qu’une c

10 e pensez-vous du pacte de l’Atlantique, vous, les fédéralistes européens ? » je réponds donc : — Tant par ses graves insuffisances q

11 pération. L’initiative, en vérité, appartient aux fédéralistes . Et, pour vous faire comprendre la portée de la réunion qui se tient

12 ues, parlementaires et religieuses, syndicales et fédéralistes . Ce congrès, présidé par Churchill, réunit 800 délégués. À l’unanimit

13 er dans la voie que leur tracent les pionniers du fédéralisme . On aura rarement vu négociation aussi lourde de conséquences se déro

14 souhaiter bonne chance aux courageux pionniers du fédéralisme  ! » C’est une manière de dire : Allez-y ! Faites-vous tuer, nous suiv

15 n engagée aujourd’hui, ce n’est pas seulement les fédéralistes , mais c’est vous tous qui la perdrez, qui serez ruinés, fouillés par

16 s villes suisses aussi, bien entendu, des groupes fédéralistes organisés, qui sont prêts à vous accueillir. Voici encore mes prévisi

17 clair, et qui ont mis sur pied un beau mouvement fédéraliste , le seul vivant et neuf dans ce pays qui ne croit plus à rien ? Depui

18 sais s’il faut s’en réjouir, du point de vue d’un fédéralisme véritable. Il me semble au contraire que les Alliés viennent de comme

19 rieur un régime fédéral. Car si l’on croit que le fédéralisme est une bonne chose, il ne faut pas en faire cadeau à ceux que l’on v

20 igne et qui s’oppose sournoisement à notre effort fédéraliste . L’Amérique, au contraire, n’a jamais suscité un parti politique amér

21 l’ambassadeur américain Caffery s’est adressé aux fédéralistes français. Je tiens à vous citer quelques-unes de ses déclarations les

22 américain, que mon gouvernement soit favorable au fédéralisme européen ? Oui, c’est un fait… Les États-Unis souhaitent l’indépendan

23 y a l’Assemblée consultative, et c’est là que le fédéralisme européen marque un point vraiment décisif. Cette Assemblée siégera da

24 nstration. La preuve est faite, en Suisse, que le fédéralisme est le seul système efficace et véritablement pratique au xx e siècle

25 rôle comparable à celui de nos divers mouvements fédéralistes européens. Je mets en fait que les Genevois, les Zurichois, les Tessi

26 l’Europe. Et j’ai montré comment notre expérience fédéraliste peut servir de modèle pour l’Europe de demain, tant au point de vue d

27 avons le devoir de faire valoir notre expérience fédéraliste sur le plan élargi de l’Europe. Il s’agit donc pour nous d’être prése

28 ont fait savoir qu’ils s’inscrivaient aux groupes fédéralistes de leur ville. Et la presse également nous appuie. Merci tout particu

29 Passons rapidement en revue l’état de nos forces fédéralistes dans les nations de l’Europe libre. Nous y trouvons d’une part, une p

30 ien souvent — marchent les groupes de militants : fédéralistes , syndicalistes et catholiques. Et nous avons enfin, au Parlement fran

31 ous avons enfin, au Parlement français, un groupe fédéraliste qui compte déjà plus de 150 députés. Parmi eux seront choisis les rep

32 vous, mais pas sans vous ! Adhérez à nos groupes fédéralistes , réveillez ceux qui dorment, le temps presse ! Appuyez-nous par vos e

33 ns plus attendre, du point de vue de notre action fédéraliste . Vous avez deviné qu’il s’agit de la dévaluation de la livre anglaise

34 il existe des sections de l’Union européenne des fédéralistes , qui est une des branches du grand Mouvement européen. Chacun de vous

35 utour de vous, dans votre milieu immédiat, l’idée fédéraliste européenne, seul grand espoir de notre continent, vous aurez à recrut

36 1833, Lausanne, vous donnera l’adresse du groupe fédéraliste européen de votre ville ou de votre région, et toutes informations so

37 Voilà qui est bien, voilà le but que nous autres fédéralistes , définissions il y a deux ans déjà. Mais aussitôt après, les 19 minis

38 us devant la nécessité d’une véritable révolution fédéraliste , d’une union réelle, rapide, complète, telle que la demandent les Amé

39 r le dos du voisin. Quand nous parlions, nous les fédéralistes , de la nécessité d’une union économique rapide et totale, les experts

40 n, M. Hoffman, qui vient dire à nos États : « Les fédéralistes ont raison, ce sont eux qui montraient la seule voie de salut. Pour n

41 aitement possible à bref délai. J’invite donc les fédéralistes qui font partie de notre mouvement à propager autour d’eux cette idée

42 demi, quel chemin parcouru ! Alors, les quelques fédéralistes qui osaient lancer l’idée d’une Assemblée consultative et d’un Consei

43 inion, et au réveil du sentiment européen que les fédéralistes voueront tous leurs efforts pendant les mois qui viennent. À Lausanne

44 , en dressant un bilan provisoire de notre action fédéraliste depuis un an. Au revoir, chers auditeurs, joyeux Noël à tous !

45 ressives. C’est en effet l’un des dangers que les fédéralistes ont la mission de prévenir, et au besoin de démasquer dès qu’il ferai

46 és, en un comité unique, toutes les organisations fédéralistes et autres qui veulent l’union du continent. Daniel Villey et ses comp

47 veulent dire. Je les emprunte à un slogan que les fédéralistes français ont inscrit sur des carnets de timbres de propagande europée

48 ement anglais pour l’Europe. Et d’accord avec les fédéralistes , qui l’avaient largement précédé dans cette voie, il convoqua le cong

49 vue que je voudrais examiner ce soir. Le terme de fédéralisme désigne en fait plusieurs grands mouvements qui ne diffèrent au fond

50 re de grandeur de leurs ambitions immédiates. Les fédéralistes européens sont, si vous le voulez bien, les moins gourmands : ils ser

51 que 20 pays de notre continent déchiré. Quant aux fédéralistes mondiaux, disciples ou prédécesseurs de Garry Davis, ils vont tout de

52 t d’apparaître une troisième tendance : celle des fédéralistes atlantiques. Ceux-ci estiment, à tort ou à raison, que l’Europe est d

53 lique, ou même parmi les militants européens. Les fédéralistes européens ont adopté dès le début de leur campagne le slogan suivant 

54 t, je n’en doute pas, de fédérer bientôt tous les fédéralistes , c’est-à-dire d’unir dans l’action les quelques équipes grâce auxquel

55 ain de mes chroniques, a plus d’un sens. Pour les fédéralistes , dont je suis, faire l’Europe signifie pratiquement créer sans retard

56 péfiant, ce n’est pas que M. Churchill, après les fédéralistes et avec eux, l’ait vu ; mais c’est que les autres hommes d’État ne le

57 ont aussi compris le sens dernier de notre effort fédéraliste . Au revoir, à lundi prochain.

58 ’une des plus importantes mesures d’union que les fédéralistes ne cessaient de demander, depuis leurs premiers manifestes. Deux jour

59 nous sommes entrés dans le concret de notre lutte fédéraliste . Tous ces messieurs étaient d’accord tant que notre plan restait vagu

60 ns que l’union de nos pays s’opère dans un esprit fédéraliste , — nous demandons l’union dans la diversité, sur le modèle qui a fait

61 était l’un des points principaux du programme des fédéralistes . Nous l’avions proposé à Montreux dès 1947, puis à La Haye en 1948, e

62 ami Raymond Silva, l’un des pionniers français du fédéralisme , ceux-là nous demandent souvent : Que fera donc votre Centre ? Pouvez

63 olitique, il a fait sienne l’exigence de son aile fédéraliste , il a demandé la création d’une véritable Autorité européenne, dotée

64 de notre continent. Né d’un projet conçu par les fédéralistes , il restera l’honneur du gouvernement français, qui osa le prendre en

65 ette Assemblée consultative porte le grand espoir fédéraliste  : on verra, cet été, si elle s’en montre digne. On le verra d’une man

66 exemple vivant suffit à démontrer que la solution fédéraliste est non seulement praticable en principe, mais pratique. Vous allez m

67 s, qui savent ce qu’ils veulent, je les nomme les fédéralistes . Eh bien ! Messieurs les députés européens, si vous n’êtes pas fédéra

68 ssieurs les députés européens, si vous n’êtes pas fédéralistes , allez-vous-en ! Si vous l’êtes, osez le dire, prouvez-le, faites la

69 gogne, où s’étaient réunis pour le 14 juillet les fédéralistes français. Là, dans ce riche pays de vignobles touffus, sous les voûte

70 verra des actes révolutionnaires, de la part des fédéralistes . Ceux-ci ne représentent, à vrai dire, qu’une minorité de l’Assemblée

71 nus par l’opinion publique. Des groupes de jeunes fédéralistes , prêts à l’action, animés par le professeur Daniel Villey, hantaient

72 les au salut de la communauté, c’est la thèse des fédéralistes . Ceux-ci ne sont encore, dans l’Assemblée, qu’une minorité certes trè

73 la culture, et un état-major européen. À quoi les fédéralistes répondent : d’accord, prenons les problèmes les uns après les autres

74 orieuses négociations diplomatiques en cours, les fédéralistes , conscients des dangers mortels que court l’Europe, ont dressé leurs

75 pas neuf, et d’ailleurs faux. C’est pourquoi les fédéralistes européens ont décidé d’agir d’une manière plus directe. Pacifiquement

76 tion de nos troupes, face à l’Assemblée. L’Union fédéraliste interuniversitaire, qui groupe des étudiants de 56 universités d’Euro

77 otre mouvement. Dès jeudi, l’Union européenne des fédéralistes tiendra son congrès annuel à Strasbourg, amenant elle aussi plusieurs

78 ts de la lutte pour l’Europe. On sait que l’Union fédéraliste est l’aile marchante du Mouvement européen. Elle groupe dans 15 pays

79 attendre de cette vaste mobilisation des énergies fédéralistes . Un simple manifeste, ou une révolution ? Je ne crois guère à une rév

80 qui pourrait être ou bien l’Europe des militants fédéralistes , ou bien l’armée d’un empire étranger. Je ne voudrais pas dramatiser

81 tait, en son nom personnel, une profession de foi fédéraliste … Rien ne me semble plus typique de la situation de Strasbourg. Les in

82 militants dont je vous parlais. Quatre mouvements fédéralistes ont tenu leur congrès annuel à Strasbourg même, ces jours derniers. L

83 ait pas connue l’été dernier. Certes, la fraction fédéraliste du Parlement de Strasbourg n’est pas encore arrivée à ses fins. Ses e

84 u’ils n’aient pas encore emporté la décision, les fédéralistes ont obtenu des résultats indirects d’une réelle importance. En demand

85 ues à accepter au moins quelque chose. Contre les fédéralistes , accusés d’utopie et d’impatience dangereuse quand ils exigent un Pac

86 tous ces projets ont eu pour origine nos congrès fédéralistes depuis 3 ans, et les travaux du Mouvement européen. Tout en persuadan

87 Au fond, la querelle qui oppose à Strasbourg les fédéralistes , partisans d’une constitution européenne, et les unionistes, partisan

88 Il s’agit de construire une maison, l’Europe. Les fédéralistes en ont dressé les plans. Mais les autres leur disent : bornons-nous à

89 ne vois pas là de contradiction sérieuse. Car les fédéralistes savent très bien qu’on ne peut bâtir tous les étages à la fois, et qu

90 l’on bâtit. Il faut un plan. Il faut donc que les fédéralistes continuent à montrer le but et à demander à grands cris qu’on bâtisse

91 attribuer. C’est l’impatience tant critiquée des fédéralistes , des étudiants, du Conseil de vigilance, qui les a rendus possibles,

92 avec sympathie de l’action des divers mouvements fédéralistes , dont Strasbourg est un résultat. Laissons de côté tout esprit de chi

93 ’ils soient ou non encourageants pour notre cause fédéraliste . Parler à la radio, ce n’est pas faire des discours. Car on s’adresse