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terai simplement que pour une fois il convient de
féliciter
Berne d’avoir su se tenir à l’abri des courants d’air. Au revoir, à l
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nt paradoxale. Car d’une part, nous pouvions nous
féliciter
des progrès très rapides de notre idée dans l’opinion publique, dans
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es, harangua les jeunes gens. Il commença par les
féliciter
d’être venus en si grand nombre. Il leur conseilla de renouveler cett
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ouvement. Pourtant, l’heure n’est pas venue de se
féliciter
de ces premiers progrès, péniblement acquis. Les cadres sont posés. L