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d’accord pour affirmer que l’opinion est demeurée
indifférente
. Mais ceci est assez étrange. Car, les journaux le savent très bien :
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ts de la faculté de Poitiers, et il les a trouvés
indifférents
, désabusés, et résignés au pire, c’est-à-dire à la guerre qu’ils juge
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e soit notre condition. Si les masses sont encore
indifférentes
à l’idée d’une Europe unie, la raison simple en est que la peur de la