1 fatalement vers une guerre qui risque bien d’être la dernière . Parce qu’elle laissera peu de monde pour en faire une nouvelle… Mais

2 rer tous nos peuples encore libres, les fédérer à la dernière minute, pour empêcher la guerre, c’est notre seule chance de salut. O

3 s s’étaient affrontés dans 5 guerres au moins, et la dernière d’entre elles, la guerre du Sonderbund, venait à peine de se terminer

4 tant, un peu plus tard. Cette chronique sera donc la dernière de la saison, avant que je ne la reprenne, peut-être, au mois de sept

5 n’en va pas de même pour notre Suisse, qui reste la dernière , et qui, jusqu’à présent, n’a pas pris position clairement et publiqu

6 us gagner une guerre moderne — personne n’a gagné la dernière — on ne peut plus que détruire sans fin, on ne peut plus s’emparer qu

7 entir plus proche des uns que des autres. Pendant la dernière guerre, en Suisse, nous étions neutres en fait, mais unanimes à conda

8 ein pour l’Europe, et simultanément. Détrônée par la dernière guerre de sa position dominante dans le monde, l’Europe est devenue l

9 l’Europe va se réunir cette semaine pour apporter la dernière main aux statuts de cette institution, dont le siège sera probablemen

10 let et août si bien que ce soir, je vous présente la dernière chronique d’une série qui aura duré près d’une année. Il est bien nat

11 qui commençait à l’autre bout de la rue. Lors de la dernière séance publique du congrès, le bourgmestre de Berlin, qui présidait,