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ent négative, cesse d’être une solidarité dans la
misère
ou dans les catastrophes seulement. Il faut désormais la vouloir d’un
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on destin, de secouer les fatalités de guerre, de
misère
et de honte, qui s’accumulent sur un proche horizon. Que devons-nous
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dictatures communistes ou autres, avec toutes les
misères
qui viennent sur vous. » Il y a deux jours, un journal de Paris, et p
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ut-il attendre de Lausanne ? Un simple rappel des
misères
et des périls qui nous menacent suffit à définir notre programme. Vou
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uns aux autres, mais seulement dans la ruine, la
misère
et la peur. Unis, demain, nous pourrions être solidaires dans la sécu
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s au maximum, l’Europe entrera totalement dans la
misère
et la famine, et je me permets de vous rappeler en passant que la Sui
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ent pas, ce sera demain non pas l’Europe, mais la
misère
. Le Conseil de l’Europe, à Strasbourg, paraît entré en pleine létharg
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faites aucune vous savez ce qui nous menace : la
misère
et l’occupation. Je ne vois pas d’autre alternative. Au surplus si le
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ienne par exemple est née de la combinaison d’une
misère
noire, causée par la défaite et l’inflation, et d’un névrosé fanatiqu
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n pour faire supporter à leurs peuples un état de
misère
générale. Ce que nous avons vaut bien qu’on le défende, quand on le c
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as une question de mode, mais de prospérité ou de
misère
, de guerre ou de paix, de vie ou de mort pour toute une civilisation.