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dre pour hâter la fédération. Le premier était un
Norvégien
, président de la Chambre des députés de son pays, le second un ancien
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n pays, le second un ancien ministre français. Le
Norvégien
disait : « Surtout, soyons prudents, marchons lentement ! Chez nous e
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écisément en Norvège, et je constate que 64 % des
Norvégiens
sont favorables à l’union européenne, 11 % seulement s’en déclarent a
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preuve indiscutable que le président du Parlement
norvégien
se trompait sur son propre peuple, et qu’en lui attribuant une vaste