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ogue de sourds, ou plutôt derrière ce qui pouvait
paraître
une histoire de fous, il y a quelque chose de sérieux, et même de gra
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, je propose de faire l’Europe. Cette attitude me
paraît
claire et nette. Elle inquiète, cependant, un certain nombre de perso
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re civilisation. Le rôle de la Suisse, désormais,
paraît
clair. Solidement fédérée, neutre depuis un siècle, elle est au but,
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d’hui défendre sérieusement. Et cette comparaison
paraissait
rassurante, puisque nous avons vu que nos 22 cantons, tout aussi divi
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qu’elle peut faire pour l’union de l’Europe, qui
paraît
être une question politique ou économique avant tout. La réponse est
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re des centaines, des milliers d’articles qui ont
paru
à propos de Strasbourg, dans le monde entier. Une seule conclusion gé
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et vulnérables. Il y a là, si paradoxal que cela
paraisse
, un élément de détente dans la situation internationale. Beaucoup des
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aide. Et si enfin, le groupe existe, mais ne vous
paraît
pas satisfaisant, raison de plus pour y entrer, avec vos amis, et pou
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gré de n’avoir pas voulu prendre parti ? Cela me
paraît
au moins douteux. Je me suis borné, ce soir, à poser des problèmes. L
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mes tous prêts à défendre, nous fait un devoir de
paraître
à Strasbourg, et d’y affirmer notre point de vue. Suis-je assez clair
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idéal. Je parlais d’une mesure politique, qui me
paraît
opportune pour l’Europe, champ de bataille désigné pour une guerre in
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ple suisse, qu’il consente un tel acte de foi, me
paraît
impossible dans le très court délai qui nous reste imparti pour faire
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ue je préconisais lundi dernier, parce qu’elle me
paraît
raisonnable, et praticable immédiatement. Je voudrais que la Suisse a
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r cette chance, courir ce risque pour la paix, me
paraît
digne de nos traditions, et parfaitement possible à bref délai. J’inv
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rtie de cette Europe menacée même si parfois elle
paraît
l’oublier. Si l’on ne fait rien, tous nos bons vœux n’empêcheront pas
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ois, et d’en discuter quelques-unes, car elles me
paraissent
bien typiques des réactions infiniment diverses, parfois savoureuses,
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figurent pas dans le compte rendu du congrès, qui
parut
à Londres. D’ailleurs, la récente conférence des dominions, à Colombo
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onnable et vraiment réaliste, en l’occurrence, me
paraît
être celui-ci : nos pays doivent d’abord se fédérer, politiquement et
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ne fière affirmation d’indépendance. Voilà qui me
paraît
simple à concevoir, évident, et irréfutable. Je m’étonne que tant de
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la misère. Le Conseil de l’Europe, à Strasbourg,
paraît
entré en pleine léthargie hivernale. Certes, deux de ses commissions
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s de l’Europe, le Canada et les États-Unis. Il me
paraît
utile de fixer rapidement la position de notre Mouvement européen dev
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ées de son enquête par l’hebdomadaire parisien me
paraissent
dignes d’être citées et soulignées à votre intention. « Il est probab
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e Europe organisée sur le modèle de la Suisse qui
paraît
souhaitable au plus grand nombre. 2. La plupart des lecteurs pensent
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n. Et je vous disais que les cercles officiels me
paraissaient
tendre de plus en plus vers l’union atlantique, au risque de faire ou
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vorisait ou non l’union européenne. Ce sondage me
paraît
valable, parce qu’il n’a pas pris le public par surprise. Au contrair
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e notre péninsule tout autre chose que ce qu’elle
paraît
physiquement. Sans la culture, nous n’aurions ni puissance, ni riches
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s’en tenir au possible — et presque rien ne leur
paraît
possible — , tandis que d’autres veulent le nécessaire. Certains dépl
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e européenne, à supposer qu’on l’organise, ce qui
paraît
possible avant deux ans, — encore faut-il qu’elle soit mise au servic
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la résistance. L’idée de neutralité européenne me
paraît
devoir être abandonnée, pour le moment, puisqu’elle sert de prétexte
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on qui je l’espère, deviendra générale, et qui me
paraît
vitale pour notre avenir. Je me borne à proposer, pour l’orienter, un
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qui vient de se tenir en Pologne, pour protester
paraît
-il une fois de plus contre l’impérialisme de nos démocraties assoiffé
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nvie de perdre leur sens critique. L’opération me
paraît
impraticable. Et de plus, elle est inutile. Car je comprends fort bie
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radio, ou de prendre un poste étranger. Cela vous
paraît
tout naturel. Eh bien, demain, on vous ôterait ce droit, et vous ne p
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journaux en question. Le texte de mes émissions a
paru
dans deux périodiques suisses, en allemand et en français. Chacun peu