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s réserves, et pour le dire avec franchise, aucun
progrès
réel ne semble acquis. Chaque ministre, nommé par son gouvernement, d
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ritannique, pour le moment, fait échec à certains
progrès
rapides et décisifs qui, sans elle, pouvaient être acquis dès cet aut
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des procédés de construction et de transport, des
progrès
de l’hygiène et de l’enseignement. C’est enfin la source directe de n
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e semaine en semaine, j’ai commenté pour vous les
progrès
du grand œuvre commun d’union des peuples et des élites, et quand on
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bre, un brusque coup d’arrêt interrompait ce beau
progrès
: les ministres réunis à Paris, opposaient un veto plus ou moins dégu
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t de l’autre… Des hommes de 1900 croyaient que le
progrès
c’était tout simple ; qu’il allait toujours dans le même sens, et néc
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mieux. Nous avons appris en cinquante ans que le
progrès
va dans les deux sens vers le mal en même temps que vers le bien. Tou
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nsabilités d’hommes et de citoyens. Voilà le seul
progrès
certain. Rendons-nous compte, en ce début d’un demi-siècle décisif, q
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ivant. Au xx e siècle, nous avons fait d’immenses
progrès
. La guerre est devenue totale, et cela veut dire : que les soldats, l
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la disent nécessaire, qui se congratulent sur les
progrès
(à vrai dire infimes) déjà réalisés dans ce sens, parmi tous ces homm
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r l’événement. Je vous ai décrit les étapes de ce
progrès
encore bien lent et plein d’à-coups, mais au total indiscutable. Le C
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Demain l’Europe ! — Lenteurs et
progrès
(15 mai 1950) Chers auditeurs, Le mois de mai ramène des astres fav
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nça son discours en ces termes : « Messieurs, les
progrès
du Conseil de l’Europe sont très lents, très lents, très lents… très
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Car d’une part, nous pouvions nous féliciter des
progrès
très rapides de notre idée dans l’opinion publique, dans les masses e
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et je l’ai toujours pensé ! Mais d’autre part, ce
progrès
de l’idée fait sentir par contraste l’extrême lenteur de son applicat
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ine par l’endettement illimité, c’est étouffer le
progrès
social, c’est réveiller le nationalisme qui est l’origine même de nos
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u’elle vive, et par elle, chacun de nos pays. Ces
progrès
, plus considérables en réalité qu’ils n’apparaissent dans les journau
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régime concentrationnaire, et qui pensons que le
progrès
social est plutôt du côté des ouvriers qui ont le droit de grève, que
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aurice Allais. Je lui ai demandé : quels sont les
progrès
récents accomplis en réalité dans ces divers pays ? Et il m’a répondu
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qu’il est aujourd’hui. Il n’y a donc ni recul ni
progrès
. Mais en France, le pouvoir d’achat est aujourd’hui 3 fois plus grand
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n : où est le véritable espoir ? S’il s’agit d’un
progrès
purement économique et matériel, c’est vers l’ensemble de l’Amérique
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ourner, non pas vers l’Est. Mais s’il s’agit d’un
progrès
moral, c’est l’Amérique et la Russie qui devraient se tourner vers l’
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ù le hasard vous a fait naître. Serait-ce donc un
progrès
sur nos visas ? Vous pouvez lire le journal qui vous plaît, aimer qui
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t punie comme un crime social. J’en déduis que le
progrès
est de notre côté. Je suis peut-être un peu simpliste ? Nous avons le
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esse, il est la permission pratique de nos futurs
progrès
matériels et moraux. Il nous faut donc garder nos jeunes libertés, si
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re tant de discours, des faits, des créations, un
progrès
mesurable vers le but ? En toute prudence, je puis répondre : oui. De
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e n’est pas venue de se féliciter de ces premiers
progrès
, péniblement acquis. Les cadres sont posés. Les idées des pionniers s
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ndre au plus grand nombre. Elles sont le gage des
progrès
à venir. Elles sont le grand atout de notre Europe. Si nous devenons