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igées de freiner secrètement la production. Il en
résulte
que le prix de la vie ne cesse d’augmenter, et que le chômage devient
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s sont à 2 ou 3 heures les unes des autres. Il en
résulte
que, pratiquement, l’Europe est aujourd’hui plus petite que notre Sui
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e : nos pouvoirs de tuer ou de faire vivre. Il en
résulte
une formidable augmentation de nos responsabilités d’hommes et de cit
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uerait d’appeler bonheur l’immense malheur qui en
résultait
. Nous voici donc en pleine irréalité, en pleine folie, pour avoir cru
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ne peut gagner qu’en les détruisant toutes. Il en
résulte
logiquement qu’on ne peut plus s’emparer que d’une nation morte. On n
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tries clés des deux pays seraient unifiées, il en
résulterait
la suppression automatique des barrières douanières entre les deux pa
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l’on admet que la faiblesse tragique de l’Europe
résulte
de sa désunion ; que sa seule chance de salut est donc la mise en com
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remier Serment de Strasbourg. De ce traité devait
résulter
le démembrement de l’Europe et sa division en nations. Il y avait, ce
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tiques, on respectait réellement l’opinion, il en
résulterait
des conséquences bizarres. Et en particulier celle-ci : c’est que la
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s raisons véritables de ce statut spécial, qui ne
résulte
pas d’une loi éternelle de la Nature, ni d’un commandement de Moïse,
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uffisant de savants et de grands appareils. Il en
résulte
que l’Europe divisée en quelque 20 pays, tous trop petits pour la tâc
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mme on dit. De ces constatations très simples, il
résulte
clairement que l’union de l’Europe est la meilleure chance de la paix