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l s’agit. On l’a bien vu et bien senti lors de la
séance
inaugurale. La cérémonie, certes, était spectaculaire. La seule prése
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nnait un sens très neuf et au moins imprévu, à la
séance
, mais l’atmosphère demeurait un peu froide, on ne sentait pas cette é
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r, je vous donnerai deux nouvelles : Ce matin, en
séance
plénière, notre conseil s’est donné un président de séance pour une a
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énière, notre conseil s’est donné un président de
séance
pour une année sur la personne de Léon Jouhaux, le grand chef syndica
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Mouvement européen a décidé de proposer, dans sa
séance
toute récente de Bruxelles. Le projet mis au jour par le Mouvement eu
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vient… L’université avait prêté son aula pour les
séances
du Parlement. Je n’y suis pas entré sans émotion : j’allais voir de m
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uniquées à la conférence, au cours de sa dernière
séance
plénière. Quelles étaient les questions posées ? Elles consistaient e
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ait à l’autre bout de la rue. Lors de la dernière
séance
publique du congrès, le bourgmestre de Berlin, qui présidait, se leva
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salutaire inquiétude. À la veille de la première
séance
de l’Assemblée, ils s’étaient réunis à la frontière franco-allemande,
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s les couloirs de l’Assemblée, dans le public des
séances
, et parmi la population. Ils forment le « corps franc » de notre mouv
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uelques instants avant l’ouverture de la première
séance
de l’Assemblée, le comte Sforza, ministre italien des Affaires étrang
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eux-mêmes un message aux représentants réunis en
séance
plénière. L’accès de la salle leur fut refusé, mais le message fut di