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edi soir, en introduisant par quelques mots cette
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d’émissions sur la première session du Conseil international à Bruxel
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première, c’est d’avoir imposé aux Allemands une
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de petites « rectifications de frontières », sans grand intérêt pour
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se. Cette causerie de lundi dernier m’a valu deux
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de questions ? Les unes portant sur l’utilité générale d’une telle dé
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nes résolutions, et l’OECE elle aussi, a pris une
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de résolutions, dont voici la première : « Le Conseil de l’OECE recon
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e européenne. Elle se terminait par le vote d’une
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de recommandations qui furent transmises aux 13 États formant le Cons
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t penser : le bilan de 1949, c’est le bilan d’une
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de parlottes. Là-dessus, j’ai trois remarques à vous soumettre. La pr
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oir, je vous présente la dernière chronique d’une
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qui aura duré près d’une année. Il est bien naturel que je m’interrog
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a formule d’un gouvernement européen, celle d’une
série
d’autorités spécialisées, dont le plan Schumann du charbon et de l’ac
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poser au Comité des ministres l’institution d’une
série
d’autorités européennes. Pour permettre aux ministres de se prononcer
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ents et des tièdes a recommandé la création d’une
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d’autorités européennes spécialisées. C’est ainsi qu’elle a discuté e
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par la parole et par l’écrit, mais par toute une
série
d’actions pratiques ; non seulement par le Parlement de Strasbourg et