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nergique. Mais c’est surtout l’esprit de ces deux
traités
qui, décidément, n’est pas le même. Notre pacte du 1er août s’ouvrait
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ute en ces termes : Les États parties du présent
traité
réaffirment leur foi dans les buts et les principes de la Charte des
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où faut-il la chercher ? Elle ne naîtra pas d’un
traité
, surtout pas d’un traité militaire, quand on manque d’armes et de tro
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Elle ne naîtra pas d’un traité, surtout pas d’un
traité
militaire, quand on manque d’armes et de troupes. Elle ne peut naître
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le-même fédérale. Alors enfin le peuple allemand,
traité
sur pied d’égalité, aura sa chance de se relever sans devenir aussitô
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ter neutres. Et cela, non seulement parce que les
traités
et la constitution nous y obligent, mais aussi parce que la neutralit
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u cours de cet hiver. L’Autriche n’attend que son
traité
de paix, qui ne saurait longtemps tarder. Il ne restera donc, dans qu
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arce que les Russes refusent encore de signer son
traité
de paix, et la Suisse parce qu’à Berne, on n’aime pas trop se presser
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ent prêté un premier Serment de Strasbourg. De ce
traité
devait résulter le démembrement de l’Europe et sa division en nations
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8, lorsque la Suisse se sépare de l’Empire par le
traité
de Westphalie. L’expérience de la guerre de Trente Ans a montré que l
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rend un aspect positif. On sait, en effet, que le
traité
de Vienne dit en tous termes que « la neutralité et l’inviolabilité d
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ans ? Je ne le pense pas. Ce que les auteurs des
traités
de 1815 entendaient par l’intérêt de l’Europe, c’était un certain deg
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ssion qui elle-même ne manque pas de cachet — m’a
traité
cette fois-ci d’enragé, simplement. Un hebdomadaire religieux a décla