1 parvenir jamais. On lit cette littérature pour «  échapper aux soucis quotidiens »12, pour éviter, en fait, de résoudre le drame

2 u de pigeon vole. Il reste quelques écrivains qui échappent à toutes les « espèces » parce qu’ils en créeront de nouvelles. Quelq

3 ion : c’est le mystère de l’éternité, de cela qui échappe au temps, marque sa fin, et le recrée. De ce mystère, je puis seul té

4 ensée « pure » et le réel confus et dangereux qui échappe à ses prises prudentes. Et ces lois confirment le penseur dans l’idée

5 l’utile ; et qu’on taise le reste, tout cela qui échappe à nos prises. Ainsi fait Goethe, et c’est là sa vertu. Mais notre siè

6 itiques, en sorte que le choix d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et se trouve déterminé par Holl

7 t plus même exemplaire. Seul le Don Juan mythique échappait à cette consomption. Mais Don Juan ne connaît pas d’Iseut, ni de pass

8 on, il me semble que son dessein le plus secret m’ échappe encore. L’aveu sera jugé insolite. Mais je pressens d’assez profondes

9 ble, que signifie le choix de la mort. Et comment échapper au démon que l’on fixe ? Pour attaquer la passion dans l’amour, il fa

10 re le but idéal de l’homme98. En même temps, elle échappe à l’abaissement bestial qui tôt ou tard est la rançon d’une divinisat

11 du Démiurge, et puisque le salut est justement d’ échapper à sa loi démoniaque.104 Faut-il voir à la source de cet aspect le pl

12 nt là des phénomènes complexes et collectifs, qui échappent en partie aux vues individuelles. Le « signe » de la crise du mariage

13 n’arrangerait pas grand-chose à cet égard. Ce qui échappe par définition à toute formule ou forme d’expression, c’est l’incohér