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ance un vibrant appel aux écrivains : qu’ils nous
écrivent
des romans contre le bolchévisme, et l’on donnera 50 000 fr. au mieux
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netteté, comme on l’a vu plus haut. En dehors des
écrits
de Philip, on ne trouvera guère d’écho à l’effort critique de la « th
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sans rapport à leurs fins. Elle dit : c’est bien
écrit
, mal composé, intéressant ; elle dose des influences, elle prévoit de
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les accepter pour tels. « Philosophe et guerrier,
écrit
Rudolf Kassner, n’ont presque plus en commun que des banalités. » Mai
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ine. Rendez à l’écrivain la responsabilité de ses
écrits
, vous le rendrez aussi à la communauté, vous recréerez le lien vivant
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° parce qu’ils incitent les écrivains de métier à
écrire
des stupidités, des pornographies pauvrettes, des « variétés » public
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sommes loin — (avec ces auteurs-là) — de ceux qui
écrivent
merde cent fois la ligne pour faire croire qu’ils sont forts. Je n’ai
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a s’appelle, je ne sais plus le nom du type qui a
écrit
le bouquin. Ah ça alors ! Tenez, c’est l’histoire d’une municipalité
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désespoir maquillait. Il y a dans tout ce qu’ils
écrivent
, une espèce de bluff inconscient, dont le dernier livre d’André Breto
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re ne laisse pas un instant de faire sentir qu’il
écrit
, et l’on aime jusqu’au retors de cette écriture contractée. Dans son
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l’impression d’un livre plus profondément rêvé qu’
écrit
(fort bien écrit du reste). Il laisse deviner trop de choses pour qu’
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livre plus profondément rêvé qu’écrit (fort bien
écrit
du reste). Il laisse deviner trop de choses pour qu’on lui pardonne d
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« les jeunes gens qui ne possédaient rien qui ont
écrit
les pages héroïques de l’histoire, et non les gens âgés qui possédaie
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t d’ailleurs d’autant plus absurde que ce livre —
écrit
par un juif ! — a été condamné en Allemagne. p. Rougemont Denis de
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? La réponse est simple. L’esprit s’exprime par l’
écrit
et la parole. Un sanctuaire de l’esprit sera donc un sanctuaire du li
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— Je réponds simplement que dans l’action et les
écrits
des commissaires susnommés, l’utilitarisme grossier trouve une espèce
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nt inactuelle. Avoir vu que les choses humaines,
écrit
Renan, sont un à peu près sans sérieux et sans précision, c’est un gr
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: que sait-il faire ? C’est tout juste s’il sait
écrire
. Il écrira donc un ouvrage dans les règles de l’art qu’il a sucé. Si
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-il faire ? C’est tout juste s’il sait écrire. Il
écrira
donc un ouvrage dans les règles de l’art qu’il a sucé. Si l’ouvrage e
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atérielles que « touchent » les clercs pour leurs
écrits
se trouve être l’inverse exact de la valeur spirituelle de ces écrits
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e l’inverse exact de la valeur spirituelle de ces
écrits
. Ce n’est pas la création, c’est le rabâchage qui rapporte. Publiez u
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ents, s’il est vrai que la liberté de penser et d’
écrire
à sa guise, la pauvreté, le risque matériel, le nomadisme, le contact
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leur rôle dans la cité ? à qui s’adressent leurs
écrits
? d) quelle est la source de leur autorité — si elle existe en fait o
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. « Ford, c’est Descartes descendu dans la rue »,
écrivaient
Aron et Dandieu dans Le Cancer américain. 31. Dans un ouvrage intitu
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peuple d’Israël, t. III, p. 497. Le vieillard qui
écrit
cela, est-ce bien le même homme qui écrivait dans sa jeunesse : « La
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ard qui écrit cela, est-ce bien le même homme qui
écrivait
dans sa jeunesse : « La science maîtresse, le souverain… ce sera la p
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l’homme qui a mauvaise conscience. P.-S. Ceci fut
écrit
en mai de cette année ; à ce moment j’ignorais tout du « congrès pour
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rumeur d’océan au-dehors. Le journal de ce matin
écrit
: « Lorsque le Führer s’écria : Je ne puis vivre que si ma foi puissa
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soulevée, ayant un poids à elle et une densité »,
écrit
Ramuz. Le peuple dit, encore plus simplement : « Si c’était vrai, ça
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e : « C’est comme moi. » C’est comme lui quand il
écrit
. Car sa vision est harmonie avec ces formes, et son langage avec les
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non littéraire. Ramuz, c’est le contraire : s’il
écrit
« Autarchie », il ajoute aussitôt : — « comme ils disent ». Il ne man
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ce qu’elle est la plus clairvoyante que Ramuz ait
écrite
sur son art, mais aussi parce qu’elle indique, à peu près seule dans
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otes et à nulle autre chose ; tous les mots qu’on
écrit
, les tableaux qu’on peint, les statues qu’on taille dans la pierre ou
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ement dit, les « écrivains de choc » ont appris à
écrire
en même temps qu’un peuple immense apprenait à les lire. Cette situat
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endre mesure de sa vie. Il choisit pour cela de l’
écrire
, de « jouer sa provision de bon air contre du papier noirci », et il
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ester vivant, c’est dans un amitié nouvelle. S’il
écrit
quelque part : « Le monde n’a plus pour moi le caractère intelligible
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, bon gré mal gré, aux mêmes questions : pourquoi
écrivez
-vous ? et pour quoi, et pour qui ? Or on ne peut poser ces questions-
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nstruire, d’une vision grande du but commun. Bien
écrit
, mal écrit, talent ou pas talent, original, influencé, etc., tout cel
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’une vision grande du but commun. Bien écrit, mal
écrit
, talent ou pas talent, original, influencé, etc., tout cela n’importe
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Âge 62, a là-dessus un passage qui pourrait être
écrit
tout exprès pour l’œuvre de Caldwell : On aime à opposer l’esprit ga
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rononcée par Gide au début de son voyage, l’autre
écrite
au retour en France. Point de départ : « Le sort de la culture est li
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nant était en germe dès le principe. (Ce que nous
écrivions
ici le mois dernier.) C’est ici tout le problème que pose ce livre, e
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domestiques sont restés ici avec les communistes,
écrit
Aragon. Et le petit chien du duc, qui figure sur le portrait du genti
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om. « La seule société pleine de vie et de force,
écrit
G. Bataille, la seule société libre est la société bi ou polycéphale
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he en contradictions tonifiantes qu’on ait jamais
écrit
à l’usage des créateurs : « Soyez humains à l’égard des créateurs ! C
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plus féconde de l’œuvre de Nietzsche, on n’a rien
écrit
de meilleur que le livre de Karl Löwith : Nietzsches Philosophie der
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. Et en même temps, je vois que je mentirais si j’
écrivais
que je n’y crois pas. Superstition ! Je m’étonne de ce que ce « repro
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tenir avec ces hommes et ces femmes pour qui l’on
écrivait
sans le savoir. Découverte des diversités merveilleuses que proposent
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concrètes et singulières de lire ce qu’un autre a
écrit
, d’écouter ce qu’un autre leur dit. Quand un lecteur vous écrit, il s
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er ce qu’un autre leur dit. Quand un lecteur vous
écrit
, il s’exprime le plus souvent dans un langage conventionnel qu’il cro
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autrement intelligent qu’on ne l’imagine quand on
écrit
sans l’avoir jamais vu. Il n’est pas arrêté par nos tabous critiques.
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ication in concreto à l’occasion de nos prochains
écrits
. Cette conclusion est la suivante : le lecteur en son particulier — p
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est solide et ce qui est artificiel dans ce qu’il
écrit
. Et cette critique directe, informulée, parfois dramatique, c’est bie
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ien si l’on pouvait, chaque soir et chaque matin,
écrire
dans les journaux qui s’impriment quelques heures plus tard, exacteme
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a me suffirait. » Et quelques pages plus loin : «
Écrire
ne m’intéresse que si j’ai le sentiment que ce que j’écris, par la fo
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m’intéresse que si j’ai le sentiment que ce que j’
écris
, par la forme et par le fond, serait de nature à modifier la conscien
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térieures d’un parti, ne considèrent pas l’acte d’
écrire
comme un divertissement sans conséquence. Il existe des jeunes écriva
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le, soit qu’il y ait intérêt à faire voir que les
écrits
les plus « indifférents » militent toujours bon gré mal gré pour quel
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xcellente analyse qu’il nous donne des principaux
écrits
de son compatriote ne prend quelque chaleur qu’aux endroits où il s’a
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viduelles, individualistes. « Le moi est anéanti,
écrit
M. Lamm, tous les traits de la personnalité sont volontairement effac
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re de près, corps à corps. Croit-on que Ramuz eût
écrit
ce Chant de notre Rhône, si « roman », sans le voisinage germanique q
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dénonce les équivoques de l’antisémitisme et ose
écrire
: « Je doute que le prolétariat français éprouve une joie particulièr
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Au total, ce Manifeste de huit pages, clairement
écrit
, sans équivoques, intégralement fédéraliste (et non régionaliste) doi
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et le reste est indiscrétion. Mais je ne pouvais
écrire
un livre entier sur la passion sans achever ma description par ce tra
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otre engagement n’était pas pris pour ce monde »,
écrivait
Novalis songeant à sa fiancée perdue. C’est l’émouvante formule de la
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e l’homme libre se retrouve dans la chevalerie »,
écrit
Henri Pirenne, Histoire de l’Europe, p. 113. 105. Il y a l’Apocalyps
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our assurer le « salut » de nos libertés… Ils ont
écrit
et dit tout cela, avant les autres, dans Esprit et dans L’Ordre no
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aits, comme le poète une poésie. Que faut-il pour
écrire
un sonnet ? Des contraintes rhétoriques et de la liberté, disons de l
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royais cette conception dépassée, je n’aurais pas
écrit
mon livre. L’amour courtois, ça existe tellement que j’en ai fait la
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in soit humain. « Je trouve deux hommes en moi »,
écrit
l’Apôtre. Nous trouvons en nous deux amours, et même trois. C’est là
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it par la fin, comme tout le monde. Cette réponse
écrite
, j’ai lu votre « Tristesse de l’historien ». (Mounier et Niklaus, qui
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mois plus tôt, et vous me citez : « Quand Sartre
écrit
Europe il ne pense qu’à la France, et quand il pense France, il ne vo